 | Charles Louandre - 1863 - 294 pages
...par intervalles, on entendait les sourds mugissements de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forèts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans... | |
 | Anselme Ouradou - 1864 - 448 pages
...par intervalles, on entendait les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert...s'exprimer dans des langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. En vain, dans nos champs cultivés, l'imagination cherche... | |
 | A P Le Page - 1864 - 500 pages
...intervalles, on entendait les roulements ^ olennels de la cataracte du Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert,...s'exprimer dans des langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. En vain, dans nos champs cultivés, l'imagination cherche... | |
 | French literature - 1864 - 446 pages
...par intervalles, on entendait les sourds mugissements de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert,...mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. En vain dans... | |
 | Léon Contanseau - 1865 - 592 pages
...par intervalles, on entendait les sourds mugissements de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert,...les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélodie de ce tableau ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en... | |
 | Alfred Charles Clapin - 1866 - 198 pages
...intervalles, on entendait les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme do la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et...solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie do ce tableau, ne sauraient " s'exprimer dans les langues humaines, les plus belles nuits en Europe... | |
 | L. Pylodet - 1867 - 330 pages
...par intervalles, on entendait les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert,...grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau ne saurait s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
 | Frederick Leypoldt - 1857 - 332 pages
...roulements solennels de la cataracte de Niaçara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de desert en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires....grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau ne saurait s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
 | Eugène Borel - 1868 - 478 pages
...par intervalles, on entendait les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. (Chateaubriand. ) Aucun de ces imparfaits ne pourrait être remplacé' par un défini, car l'esprit... | |
 | 1868 - 332 pages
...par intervalles, on entendait les roulements solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forets solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau ne saurait s'exprimer dans les... | |
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... au loin, par intervalles, on entendait les sourds mugissements de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. 
