Je ne croyois pas que je connoîtrois jamais mesdames Necker et de Marchais. Je les vois souvent et je m'en trouve bien. Ces femmes sont aimables ; elles ne sont point sottes, ni insipides. Elles sont plus faites pour la société que la plus part des... Revue des deux mondes - Page 7991880Full view - About this book
| Emile Colombey - 1892 - 654 pages
...et Marchais. Je les vois souvent et je m'en trouve bien. Ces dames sont aimables, elles ne sont ni sottes ni insipides. Elles sont plus faites pour la société que la plupart des dames du grand monde. » La marquise, cinq mois auparavant, revenant de Saint-Ouen, où... | |
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