 Mais, sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir Et sur ses brodequins ne put plus...  Histoire littéraire d'Italie - Page 470by Pierre-Louis Ginguené - 1811 - 504 pagesFull view - About this book
 | Louis Maïeul Chaudon - 1805 - 540 pages
...täte à l'endroit le plus beau Mais si-tôt que , d'un trait d« ses fatales mains , La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. L'aimable Comédie avec lui terrassée , En vain d'un coup si rude espéra revenu , Et sur ses brodequins... | |
 | Jean Racine - 1808 - 542 pages
...déchiroient les pièces de Molière vivant j Mais sitôt que d'un trait de ses fatales mains, La Parque l'eut rayé du nombre des humains, On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. Cette tardive satisfaction d'un public long-temps injuste, ne fut pas même accordée à Cicéron,... | |
 | Louis Racine - 1808 - 512 pages
...environ vingt pistoles de notre monnaie. On ne dira pas de Milton , qu'aussitôt que la mort l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. Elle étoit morte avant lui, elle resta morte après lui ; et elle dut sa première résurrection au... | |
 | Louis Racine - 1808 - 540 pages
...pièces de Molière vivant; Mais sitôt que d'un trait (Je ses fatales mains, La Parque l'eut rayd du nombre des humains, On reconnut le prix de sa Muse éclipsée. Cette tardive satisfaction d'un public long-temps injuste, ne fut pas même accordée à Cicéron,... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 596 pages
...secocoient la tire à l'endroit le plus Mais shot que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable- comédie avec lui terrassée , Fn vain d'un coup si rude espé> a retenir , Et sur ses brodequins... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1813 - 410 pages
...venger la cour immolée au parterre. Hais sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir, Et sur ses brodequins... | |
 | Quintin Craufurd - 1815 - 466 pages
...fougueux marquis , lui declarant la guerre , • Voulait yengcr la cour immolce au parterre. Mais sitôt que d'un trait , de ses fatales mains , La Parque...nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse édipséo ; L'aimable Comc4ie , avec lui terrassée , En vain d'un coup si rude espéra revenir, Et... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 386 pages
...venger la cour immolée au parterre. Mais , sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable Comédie , avec lui terrassée , En vain d'un coup si rude espéra revenir, Et sur ses brodequins... | |
 | Charles Constant Le Tellier - 1815 - 302 pages
...venger la cour immolée au parterre. Mais, si tôt que, d'un trait de ses fatales mains, La parque l'eut rayé du nombre des humains , On reconnut le prix de sa muse éclipsée. L'aimable comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir, Et sur ses brodequins... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 602 pages
...venger la cour immolée au parterre. Mais , sitôt que d'un trait de ses fatales mains La Parque l'eut rayé du nombre des humains. On reconnut le prix de sa muse éclipsée : L'aimable comédie, avec lui terrassée, En vain d'un coup si rude espéra revenir, Et sur ses brodequins... | |
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