 | Jean de La Bruyère - 1839 - 584 pages
...goût du peuple, que de ne pas hasarder quelquefois de grandes fadaises. C L'on voit bien que V opéra est l'ébauche d'un grand spectacle : il en donne l'idée. Je ne sais pas comment V opéra, avec une musique si parfaite et une dépense toute royale, a pu réussir à m'ennuyer. Il... | |
 | Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 616 pages
...quoiqu'on « pense mal du maître et qu'il soit assez ennuyeux. » Avant lui , la Rruyère avait dit : « On voit bien que l'opéra « est l'ébauche d'un grand spectacle; il en donne l'idée; mais « je ne sais pas comment l'opéra , avec une musique si par« faite et une dépense toute royale... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1846 - 612 pages
...quoiqu'on " pense mal du maître et qu'il soit assez ennuyeux. » Avant lui, la Rruyère avait dit : » On voit bien que l'opéra • est l'ébauche d'un grand spectacle; il en donne l'idée; mais « je ne sais pas comment l'opéra, avec une musique si par« faite et une dépense toute royale,... | |
 | Jean de La Bruyère - 1847 - 544 pages
...goût du peuple que de ne pas hasarder quelquefois de grandes fadaises. L'on voit bien que l' opéra est l'ébauche d'un grand spectacle : il en donne l'idée. Je ne sais pas comment l'opéra, avec une musique si parfaite et une dépense toute royale , a pu réussir à m'ennuyer. Il... | |
 | Jean de La Bruyère - 1847 - 546 pages
...goût du peuple que de ne pas hasarder quelquefois de grandes fadaises. L'on voit bien que l' opéra est l'ébauche d'un grand spectacle : il en donne l'idée. Je ne sais pas comment l'opéra, avec une musique si parfaite et une dépense toute royale , a pu réussir à m'ennuyer. Il... | |
 | Jean de La Bruyère - 1864 - 640 pages
...goût du peuple, que de ne pas hasarder quelquefois de grandes fadaises. Ç L'on voit bien que Yopéra est l'ébauche d'un grand spectacle : il en donne l'idée. Je ne sais pas comment V opéra, avec une musique si parfaite et une dépense toute royale, a pu réussir à m'ennuyer. Il... | |
 | Jean de La Bruyère - 1868 - 452 pages
...l'acheter; c'est ignorer le goût du peuple que de ne pas hasarder quelquefois de grandes fadaises, ^f L'on voit bien que l'Opéra est l'ébauche d'un grand spectacle ; il en donne l'idée *. Je ne sais pas comment l' Opéra, avec une musique si parfaite et une dépense toute royale , a pu réussir à m'ennuyer.... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1871 - 392 pages
...« pense du mal du Maître, et qu'il soit assez ennuyeux. » Avant lui, La Bruyère avait dit : « On voit bien que l'Opéra « est l'ébauche d'un grand spectacle : il en donne l'idée, mais « je ne sais pas comment l'Opéra, avec une Musique si parfaite « et une dépense toute royale,... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1871 - 396 pages
...« pense du mal du Maître, et qu'il soit assez ennuyeux. » Avant lui, La Bruyère avait dit : « On voit bien que l'Opéra « est l'ébauche d'un grand spectacle : il en donne l'idée , mais « je ne sais pas comment l'Opéra, avec une Musique si parfaite « et une dépense toute royale,... | |
 | Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - 1876 - 948 pages
...quoiqu'on pense mal du maître, et qu'il « soit assez ennuyeux. » Avant lui, la Bruyère avait dit : « On voit bien que « l'opéra est l'ébauche d'un grand spectacle, il en donne « l'idée; mais je ne sais pas comment l'opéra, avec une « musique si parfaite et une dépense toute royale,... | |
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Je ne sais pas comment l'opéra, avec une musique si parfaite et une dépense toute royale, a pu réussir à m'ennuyer. 
