| Cyprien Ayer - 1885 - 756 pages
...temps absolu, on emploie l'imparfait : a) Dans les descriptions et peintures des scènes de la nature : La scène sur la terre n'était pas moins ravissante....descendait dans les intervalles des arbres, et poussait de» gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait... | |
| Jean-Marie Guyau - 1889 - 464 pages
...flocons d'écume, ou formaient dans les deux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux " l'œil qu'il croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité....scène sur la terre n'était pas moins ravissante : lc jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et poussait des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1892 - 324 pages
...voile, et partout se formaient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour céruséen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts, et, descendant... | |
| Wilhelm Weigand - 1892 - 334 pages
...flocons d'écume ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate ébbuissante, si doux à l'oeil qu'il croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissaflte : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et... | |
| Agénor Bardoux - 1893 - 254 pages
...voile, et partout se formaient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante; le jour céruséen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts, et, descendant... | |
| Larive et Fleury - 1896 - 534 pages
...EN AMÉRIQUE (suite). bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'où croyait re«senlir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur...bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les inlervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes... | |
| Henri Sensine - 1898 - 688 pages
...flocons d'écume, ou formaient dans les deux des bancs îl'une ouate éblouissante, si doux, à l'u-il qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la lerre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la Inné descendait dans les... | |
| 1903 - 934 pages
...voile, et partout se formaient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour cérulcen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts et, descendant dans... | |
| vicomte Hervé de Broc - 1904 - 336 pages
...diaphanes de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les deux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on...le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait par intervalle des arbres et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes... | |
| Victor Giraud - 1904 - 362 pages
...de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil qu'on...croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. 1. Éd. de 1802 : qu'elle amenait de l'orient... — L'édition de 1803 donne déjà le texte définitif.... | |
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