Étude sur G. Chaucer: considéré comme imitateur des trouvèresA. Durand, 1859 - 298 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
ainz allégoriques amor ballade beauté Benoît de Sainte-Maure Boccace breton Briséis Calcas chant Chascun Chau Chaucer Chaucer s'est chevaleresque chevalier comédie Confessio amantis contes de Canterbury corage Cour d'Amour Cresséide cuer cuers dame Dante Décaméron description Diomédès ditiés emprunts Eustache Deschamps fable fabliau femme fille Filostrato fleur Fortune Frêne Froissart Gower grant Grisélidis Guillaume de Lorris Guillaume de Machault Hist imitation inspiré italien j'ai Jean de Gand Jean de Meung l'auteur l'histoire l'hôte l'original Lancastre latin légende litt livre Lorris Lydgate Machault mainte Méon merveilleux mès meunier moyen-âge mult oiseaux Ovide peinture Pèlerinage de Canterbury pèlerins personnages Pétrarque pièces justificatives Piers Ploughman plore poëme poésie poëte anglais portrait pucèle récit récits rhythme riche rien Roman Rose saint satire scène Stace sujet Théséide traduit Troïlus trouvères Tyrwhitt Victor Le Clerc vieux Geoffrey Virgile vuel Warton Wiclef XIVe siècle καὶ τὴν
Popular passages
Page 123 - O divina virtù, se mi ti presti tanto che l'ombra del beato regno segnata nel mio capo io manifesti...
Page 36 - Molière, arrive à la vieillesse, toujours sous le joug de l'imitation, et n'ayant guère composé que des poèmes allégoriques. Quand il renonce à cette poésie de cour si fausse, si maniérée, et qu'il écrit le Pèlerinage de Canterbury, drame vivant et populaire, on retrouve dans son œuvre les traits saillants qui caractérisent la seconde partie du Roman de la Rose, de longues tirades contre les femmes et le ridicule jeté à pleines mains sur les ordres religieux. Sans doute il remonte...
Page 36 - Chaucer . . . dès sa jeunesse, avait fait du Roman de la Rose son livre de prédilection. Il en traduisit une partie, et il prit des inspirations continuelles. C'est au point que ce poëte, qui sentait les beautés de la nature, qui savait les peindre, se contente souvent dans ses descriptions d'être le copiste de G. de Lorris ; que cet érudit . . . reproduit l'histoire romaine telle que J. de Meung la lui transmet, altérée...
Page 123 - Tanto, che l' ombra del beato regno Segnata nel mio capo io manifesti. Venir vedrami al tuo diletto legno , E coronarmi allor di quelle foglie . Che la materia e tu mi farai degno. Sì rade volte , Padre , se ne coglie , Per trionfare o Cesare o Poeta, ( Colpa e vergogna dell...
Page 295 - Je sui de moi en grant merveille Comment je vifs, quant tant je veille, Et on ne porrait en veillant Trouver de moi plus travaillant : Car bien sacies que pour veiller Me viennent souvent travailler Pensees et melancolies,
Page 36 - Canterbury, drame vivant et populaire , on retrouve dans son œuvre les traits saillants qui caractérisent la seconde partie du Roman de la Rose , de longues tirades contre les femmes et le ridicule jeté à pleines mains sur les ordres religieux. Sans doute il remonte aux sources premières où ont puisé ses maîtres , sans doute il étudie les ouvrages de leurs . (1) Voyez M. Paulin Paris , Mss. fr., n
Page 55 - Eoman de Thebes et celui de Troie. Au lieu de nous laisser aller aux conjectures, il est plus sage de former des vœux pour la découverte d'un texte qui nous dise que cette charmante fiction est née de notre sol.
Page 44 - In youth he made a translacion Of a boke whiche called is Trophe, In Lumbarde tonge, as men may rede and se; And in our vulgar, long er that he deyde, Gave it the name of Troylus and Creseyde.
Page 288 - Vitry qui trouva la maniere des motes et des balades et des lais et des simples rondeaux, et en la musique trouva les iiij prolacions et les notes rouges, et la novelete des proporcions.