| Paul-Louis Courier - 1826 - 408 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Haubert; et Platon , poète s'il en fut , Platon , qui n'aimait pas le peuple , l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas un mot... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 460 pages
...Malh'erbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple , l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas un mot... | |
| Paul-Louis Courier - 1831 - 754 pages
...d'Hérodote qu'il suffît d'ouvrir seulement pour s'en convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple , en est tirée du moins....n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas un mot... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 446 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mou français à la place Maubert ; et Platon, poète s'il en fut , Platon , qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas uu mot... | |
| Paul-Louis Courier - 1834 - 898 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon , poète s'il en fut , Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. Demandez le chemin de la ville à un paysan de Varlungo ou de Peretola , il ne vous dira pas un mot... | |
| 1842 - 1068 pages
...Platon, poète s'il en fut, Platon qui n'aimait pas le peuple, l'appeMe son maître de langue. » te pense, avec P.-L. Courier, que le langage populaire...locutions précieuses, marquées au coin du vrai génie île la langue, et qu'on ne saurait trop étudier. Mais s'est-on rendu exactement compte de ce phénomène?... | |
| M. AMEDEE DUQUESNEL - 1845 - 434 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Haubert ; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. » Le style d'Hérodote est quelque chose de naïf et de primitif comme le vers homérique. Aux fêtes... | |
| Amédée Duquesnel - 1845 - 830 pages
...Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue. » Le style d'Hérodote est quelque chose de naïf et de primitif comme le vers homérique. Aux fêtes... | |
| Maximilien Paul Émile Littré - 1863 - 542 pages
...homme de cour, disait : « J'apprends tout mon français « à la place Maubert ; » et Platon, poête s'il en fut, Platon qui n'aimait pas le peuple, l'appelle...étudier. Mais s'est-on rendu exactement compte de ce phénoméne ? At-on reconnu pourquoi il ya là, à côté d'une grande ignorance grammaticale, un fonds... | |
| Lorédan Larchey - 1872 - 252 pages
...homme de cour, disait : a J'apprends tout mon français à la place « Maubert » ; et Platon, poete s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle « son maître de langue... » Faut-il rappeler encore ce que le disert, mais prndent, Nodier n'a pas craint d'avancer en tête... | |
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