| Académie des inscriptions & belles-lettres (France) - 1740 - 750 pages
...trop lâche, & qu'ils ne le prêtent mutuellement aucun appui, car les penfees en font raifbnnables, & les termes n'ont rien de bas ni d'impropre. La belle Antiquité fut toujours vénérable, Poeou Je Lmû Mats je ne crus jamais qu'elle fût adorable. Je vois les Anciens fous plier les genoux... | |
| François Sabbathier - 1768 - 612 pages
...lâche , & qu'ils ne fe prêtent mutuellement aucun appui ; car , les peniees en font raifonnables , & les termes n'ont rien de bas ni d'impropre. La belle...jamais qu'elle fût adorable. Je vois les Anciens fans plier les genoux j Ils font grands , il eft vrai , mais hommes comme nous ¡ Et l'on peut comparer... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 514 pages
...son poème intitulé Le siècle de Louis-le-Grand , qui débute par ces deux beaux vers : La docte antiquité fut toujours vénérable : Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable. prendra soin de mettre les choses en l'état qu'elles étoient d'abord. J'ai cru donc que le meilleur... | |
| Charles Perrault - 1826 - 460 pages
...servons , Digne de la splendeur du siècle où nous vivons. '9 LE SIÈCLE DE LOUIS-LE-GRAND, POÈME. LJA belle antiquité fut toujours vénérable ; Mais je...qu'elle fût adorable. Je vois les anciens , sans plier les genoux ; lls sont grands , il est vrai , mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans craindre... | |
| Charles Perrault - 1842 - 370 pages
...nous servons, Digne de la splendeur du siècle où nous vivons. LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND , POEME. La belle antiquité fut toujours vénérable , Mais...qu'elle fût adorable. Je vois les anciens, sans plier les genoux ; Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans craindre... | |
| Charles Perrault, P. L. Jacob - 1842 - 400 pages
...soupirs. 1 L'Académie royale de Peinture el de Sculpture. LE SIÈCLE DE LOUIS LE GRAND , POEME. . La belle antiquité fut toujours vénérable , Mais...qu'elle fût adorable. Je vois les anciens, sans plier les genoux ; Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans craindre... | |
| Arnould Frémy - 1843 - 238 pages
...séance de l'Académie, où Perrault lut son poëme de Louis-le-Grand, qui commence par ces vers : La belle antiquité fut toujours vénérable, Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable, etc. l'un des plus mauvais poèmes, sans contredit, que le siècle de Louis-le-Grand ait vu paraître.... | |
| Hippolyte Rigault - 1859 - 572 pages
...Perrault se leva et lut un petit poème intitulé : Le siècle de Louis le Grand. Il commençait ainsi : La belle antiquité fut toujours vénérable, Mais...qu'elle fût adorable. Je vois les anciens sans plier les genoux : Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans crainte... | |
| Hippolyte Rigault - 1859 - 562 pages
...Perrault se leva et lut un petit poëme intitulé : Le siècle de Louis le Grand, II commençait ainsi : La belle antiquité fut toujours vénérable , Mais je ne crus jamais qu'elle lut adorable. Je vois les anciens sans plier les genoux : Ils sont grands, il est vrai, mais hommes... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1870 - 494 pages
...intelligence; Boileau adoucit quelques passages de ses œuvres qui pouvaient déplaire à Perrault, il I. La belle antiquité fut toujours vénérable. Mais...qu'elle fût adorable. Je vois les anciens sans plier les genoux : Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous. supprima son portrait dans la satire... | |
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