La Rivista europea, Volume 2; Volume 6, Part 2Tip. editrice dell'Associazione, 1875 |
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alcuni Amédée Achard Anna Gavrilowna appendicista artisti avait belle Betteloni bien buon c'est certo CESARE BETTELONI chè Chiesa cielo città codesta colla coup credere criticismo russo d'Italia deux diavolo Dino Compagni dire distretto donna dotto été être faire fait faut fille Firenze française France Gavrilo Michaïlovitch générale George Sand giornali governo gran Hachette Italia italiana jeune l'arte l'auteur l'histoire lavoro legge letteratura lettere lettore lettres libro lingua rumena littéraire livre maggiore mais malía Marka Pétrovitch Max Müller Maxime du Camp mente mezzo milizia mitologia Müller n'est Notizie letterarie nuovo Paris parole peut poesia poeta point popolo possono prof pubblica pure qu'elle qu'il qu'on qu'un Repubblica di Siena Revue rien Russia Rutilio Manetti sanscrito sarebbe scientifica scienza scritto scrittore scuole senesi sentimento siècle Siena signor sonetto sous storia storici studii temps toire tout troppo trova uomini vedere vedici vient volume yeux zione
Popular passages
Page 525 - LA gloria di colui che tutto move per l'universo penetra e risplende in una parte più e meno altrove. Nel ciel che più della sua luce prende fu...
Page 409 - bianco; piacevole, savio e ornato parlatore, ea gran cose sempre attendea; pratico e dimestico di gran signori e di nobili uomini, e di grande amistà '; e famoso per tutta Italia. Nimico fu de' popoli " e de* popolani, amato da' masnadieri ", pieno di maliziosi pensieri, reo e astuto.
Page 409 - Fu cavaliere di grande animo e nome, gentile di sangue e di costumi, di corpo bellissimo fino alla sua vecchiezza, di bella forma con dilicate fattezze, di pelo " bianco; piacevole, savio e ornato parlatore, ea gran cose sempre attendea; pratico e dimestico di gran signori e di nobili uomini, e di grande amistà '; e famoso per tutta Italia. Nimico fu de' popoli
Page 490 - Les jésuites de Marennes sont quatre têtes de fer qui ne parlent aux nouveaux convertis, pour ce monde, que d'amende et de prison, et pour l'autre, que du diable et de l'enfer.
Page 527 - Le Roi est fou; M. Guizot est une vanité enflée; M. Thiers, une girouette ; l'opposition, une fille publique; la nation, un Géronte. Le mot de la comédie sera tragique pour beaucoup.
Page 498 - ... ça me charme et ça me plaît de parler au lecteur et de lui raconter ce que rêve ma tête et ce que pense mon cœur. Ainsi pas d'excuse à une retraite prématurée ! Heureuse, le théâtre augmente et double votre joie; en deuil, le théâtre est une consolation. Rappelez-vous Henriette Sontag ! Elle s'en va au plus beau moment de la grâce et du charme ; vingt ans après elle saisit le premier prétexte à revenir au théâtre, elle y revient, à peine la veut-on reconnaître, et, l'infortunée...
Page 100 - Enfin voilà le Théo ! s'écria-t-il en nous voyant. Paresseux, tardigrade, unau, aï, dépêchez-vous donc; vous devriez être ici depuis une heure. — Je lis demain à Harel un grand drame en cinq actes. — Et vous désirez avoir notre avis, répondîmes-nous en nous établissant dans un fauteuil comme un homme qui se prépare à subir une longue lecture. A notre attitude Balzac devina notre pensée, et il nous dit de l'air le plus simple : « Le drame n'est pas fait. » — Diable fis-je. Eh...
Page 342 - J'ai épousé, à quarante ans, une jeune et pauvre ouvrière, non par passion, tu conçois sans peine de quelle nature sont mes passions; mais par sympathie pour sa position, par estime de sa personne, parce que. ma mère morte, je me trouvais sans famille; parce que, le croiras-tu! à défaut d'amour, j'avais la fantaisie du ménage et de la PATERNITÉ! Je n'ai pas fait d'autres réflexions. Depuis...
Page 58 - Pontefice, oltre la dotazione stabilita nell'articolo precedente, continua a godere dei palazzi apostolici Vaticano e Lateranense, con tutti gli edifizi, giardini e terreni annessi e dipendenti, non che della villa di Castel Gandolfo con tutte le sue attinenze e dipendenze.
Page 407 - ... priori vecchi, a gran torto, pur da quelli che poco innanzi gli aveano magnificati: molto gli vituperavano per piacere agli avversari, e molti dispiaceri ebbono. E chi disse male di loro mentirono, perché tutti furono disposti al bene comune e all'onore della repubblica: ma il combattere non era utile, perché i loro avversari erano pieni di speranza.