Nachgelassene Schriften: Anhang zu den Briefen aus Paris. Briefe aus der Schweiz, 1832-1833F. Bassermann, 1850 |
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Popular passages
Page 202 - Oh, talk not to me of a name great in story ; The days of our youth are the days of our glory ; And the myrtle and ivy of sweet two-and-twenty Are worth all your laurels, though ever so plenty.
Page 332 - L'humble supplique de M. Heine on l'acceptera avec satisfaction comme arrhes de sa conversion ; mais assurément la Diète de Francfort ne se payera pas d'un tel désaveu. — C'était bien modeste de la part de M. Heine de se déclarer inférieur à Luther, mais c'aurait été encore plus modeste de ne pas se mesurer avec lui — la mousse qui couvre un rocher.
Page 347 - ... momentanément l'interdit dont vous avez frappé mes écrits présents et à venir. La démarche que je fais près de vous n'est pas une protestation : c'est simplement une supplique. Il m'est impossible de m'abstenir, car l'opinion publique interpréterait mon silence contre moi. Elle y verrait l'aveu des tendances coupables qu'on m'impute et le désaveu de mes écrits. Je me flatte, au contraire, qu'aussitôt que vous m'aurez permis de me défendre il me sera aisé de démontrer péremptoirement...
Page 347 - Tetl le désaveu de mes écrits. Je me flatte au contraire qu'aussitôt que vous m'aurez permis de me défendre, il me sera aisé de démontrer péremptoirement que ma plume a été guidée, non par une pensée irréligieuse et immorale, mais par une synthèse hautement morale et religieuse, à laquelle depuis long-temps ont rendu hommage, non seulement quelques écrivains de telle ou telle école littéraire désignée...
Page 348 - ... croyez pas, messeigneurs, que je songe à me prévaloir, pour vous braver, de ce que je suis hors de votre atteinte; j'honore et honorerai toujours en vous l'autorité suprême de notre chère Allemagne. La sécurité personnelle que me garantit mon séjour...
Page 346 - Le décret que vous avez émis, dans votre trente et unième séance de 1835, me pénètre d'une affliction profonde. A cette affliction vient se mêler, je dois l'avouer, un sentiment d'étonnement extrême. Vous m'avez accusé, jugé, condamné sans m'avoir entendu, sans que nul ait été chargé de ma défense, sans que j'aie été cité à comparaître. Ce n'est pas ainsi que procédait, en pareil cas, le Saint-Empire dont la Confédération germanique a pris la place. Le docteur Martin Luther,...
Page 192 - ... jardin et le pavillon d'été où il composait sont négligés, et le dernier entièrement dégradé, mais on le montre encore ainsi que son cabinet , et les gens respectent sa mémoire. « Ma route, à travers la Flandre et parle Rhin en Suisse, a été tout ce que j'attendais, et au-delà. « J'ai traversé la terre de prédilection de Rousseau, tout plein de son Héloïse, et suis frappé à un degré que j'aurais peine à exprimer de la force, de l'exactitude des descriptions , et de la beauté...
Page 125 - Paris 13 avril. Un Journal 514 de Paris avait fait entendre qu'un litterateur distingu^ de l'Allemagne, qui n'etait autre que Mr. Boerne, se trouvait depuis quelque temps en Alsace, d'oü il dirigeait le mouvement de Francfort. Mais une chose positive, c'est, que Mr. Boerne n' ap äs quitte un instant la capitale.
Page 348 - Je me flatte au contraire qu'aussitôt que vous m'aurez permis de me défendre, il me sera aisé de démontrer péremptoirement que ma plume a été guidée, non par une pensée irréligieuse et immorale, mais par une synthèse hautement morale et religieuse, à laquelle depuis long-temps ont rendu hommage, non seulement quelques écrivains de telle ou telle école littéraire désignée sous le nom de Jeune Allemagne, mais la plupart de nos plus illustres auteurs, tant poetes que philosophes.
Page 346 - On sait que la Diète germanique a récemment lancé un' décret contre l'école littéraire et philosophique connue sous le nom de jeune Allemagne, qu'elle accuse de tendre au bouleversement social en attaquant la religion, la morale et toutes les institutions fondamentales de la civilisation. Le décret de la Diète est nominativement dirigé contre cinq' personnes, en tête desquels figure M.