| Henri Joly - 1883 - 332 pages
...souffrance par le désir passionné d'exprimer tout ce qu'ils sentent et tout ce qu'ils rêvent. « Le besoin d'écrire bouillonne en moi comme une torture dont il faut que je me délivre, écrivait Byron ; mais ce n'est jamais un plaisir; au contraire, la composition m'est un labeur violent.... | |
| Eugène Delacroix - 1893 - 530 pages
...et qu'il y avait une partie ingrate dont aucune facilité ne pouvait dispenser. Lord Byron dit : « Le besoin d'écrire bouillonne en moi comme une torture dont il faut que je me délivre, ma/5 ce n'est jamais un plaisir, au contraire; la composition m'est un labeur violent. »... Je suis... | |
| 1894 - 396 pages
...souffrance par le désir passionné d'exprimer tout ce qu'ils sentent et tout ce qu'ils rêvent. « Le besoin d'écrire bouillonne en moi comme une torture dont il faut que je me délivre, s'écriait Byron ; ce n'est jamais un plaisir, au contraire ; la composition m'est un labeur violent... | |
| 1894 - 554 pages
...soull'rance parle désir passionné d'exprimer tout ccqu'ils sentent et tout ce qu'ils rêvent. « Le besoin d'écrire bouillonne en moi comme une torture dont il faut que je me délivre, s'écriait Byron ; ce n'est jamais un plaisir, au contraire ; la composition m'est un labeur violent.... | |
| A. Antheaume, Gabriel Dromard - 1908 - 672 pages
...pas conscience*. » Mais ce sont les poètes qu'il faut entendre parler du souffle qui les anime. « Le besoin d'écrire bouillonne en moi comme une torture dont il faut que je me délivre, » écrivait Byron. On connaît aussi les beaux vers de Dante qui peuvent se traduire : « Je suis... | |
| Hubert Gillot - 1928 - 422 pages
...la création est aussi, pour l'artiste, source de toute joie. Relatant cet aveu de Lord Byron : « Le besoin d'écrire bouillonne en moi comme une torture...contraire; la composition m'est un labeur violent », Delacroix oppose au « labeur ingrat J> de l'écrivain et du poète l'allégresse des grands génies... | |
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