La marquise de Boufflers et son fils le chevalier de Boufflers, Volume 10Plon-Nourrit et cie, 1907 - 560 pages |
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Adieu agréable aimable aime amis arrive assez avez Bauffremont bonheur Bouf Cerutti charmante cher Veau chevalier de Boufflers Choiseul choses cœur comte comtesse consolation Correspondance de Mme Cour de Lunéville Craon dîner dire duchesse écrit écrivait enfant envoie esprit êtes femme flers Fléville frère heureux homme j'ai j'en J'espère jamais jolie jouir jours Juvincourt l'abbé laisse lettre Lorraine Louis madame MAGNIEU main de Mme maison malade Malgrange mande maréchale marquise ment mère mieux Mirepoix Mme d'Houdetot Mme de Beauvau Mme de Boisgelin Mme de Boufflers Mme de Brancas Mme de Lenoncourt Mme de Mirepoix Mme de Sabran Mme du Deffant Mme Durival mois monde mort n'ai Nancy nouvelles Panpan parle passer pauvre pense philosophe plaisir Porquet presque prince de Beauvau princesse regrets répond reste rien Saint-Lambert sais Scey-sur-Saône séjour sentiments serait seulement sœur Sommerviller souper souvent Stanislas t'aime tendre Tressan triste trouve venir vieille vois Voltaire
Popular passages
Page 93 - Tes voyages et tes bons mots , Tes jolis vers et tes chevaux Sont cités par toute la France; On sait par cœur ces riens charmants Que tu produis avec aisance ; Tes pastels frais et ressemblants Peuvent se passer d'indulgence; Les...
Page 284 - Dieu fait bien ce qu'il fait ; La Fontaine l'a dit. Si j'étais cependant l'auteur d'un si grand œuvre, Voltaire eût conservé ses sens et son esprit; Je me serais gardé de briser mon chef-d'œuvre. Celui que dans Athène eût adoré la Grèce, Que dans Rome à sa table Auguste eût fait asseoir, Nos Césars d'aujourd'hui n'ont pas voulu le voir, Et monsieur de Beaumont lui refuse une messe. Oui, vous avez raison, monsieur de Saint-Sulpice, Eh!
Page 495 - La finesse de l'esprit, l'enjouement, je ne sais quoi de hardi qui ne l'est point trop, des traits qui excitent la surprise et ne paraissent pas extraordinaires, le talent de saisir dans les circonstances et le moment ce qu'il ya de plus piquant et de plus agréable; voilà, monsieur, le caractère de vos pièces fugitives ; elles ne rappellent aucun des modèles, et les égalent sans leur ressembler, etc.
Page 277 - Le dimanche, il mettoit quelquefois un bel habit mordoré, uni, veste et culotte de même, mais la veste à grandes basques, et galonnée en or, à la bourgogne, galons festonnés et à lames, avec de grandes manchettes à dentelles jusqu'au bout d«s doigts, car avec cela, disoit-il, on a l'air noble.
Page 166 - Où je trouve enfin le bonheur ! Tranquille en cette solitude, Je passe de paisibles nuits; Je reprends le matin une facile étude, Le parfum de mes fleurs chasse au loin mes ennuis. Je vois le soir de vrais amis, Et m'endors sans inquiétude. Souvent conduite par les ris, De fleurs nouvellement...
Page 356 - Saint-Lambert et madame la comtesse d'Houdetot, son amie ; et quel était le charme d'une société où l'esprit, le goût, l'amour des lettres, toutes les qualités du cœur les plus essentielles et les plus désirables nous attiraient, nous attachaient, soit auprès du sage d'Eaubonne, soit dans l'agréable retraite de la Sévigné de Sanois.
Page 551 - Boufflers, ancien maréchal des camps et armées du roi, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis et de la Légion d'honneur, membre de l'Académie française, décédé hier dans son hôtel, rue du Faubourg-Saint-Honoré.
Page 505 - Auprès de toi souvent j'oublie Combien ils sont légers , aveugles ou pervers ; Si je méprise en eux la nature avilie , J'admire et j'aime en toi la nature ennoblie. Sans toi j'irais chercher les plus sombres déserts...
Page 520 - Quand on a tout perdu, quand on n'a plus d'espoir, La vie est un opprobre, et la mort un devoir.