| Alphonse de Lamartine - 1823 - 294 pages
...montagne, à l'ombre du vieux chêne , Au coucher du soleil , tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici, gronde le fleuve aux vagues écumantes, Il serpente, et s'enfonce en un... | |
| Fleurs - 1834 - 264 pages
...la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil tristement je m'assieds : Je promène au hasard mes regards sur la plaine Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes : II serpente, et s'enfonce en un... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 378 pages
...montague, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil , tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Tci gronde le fleuve aux vagues ccumantes; [I serpente, et s'enfonce en un lointain... | |
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 754 pages
...la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds , Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ; Il serpente, et s'enfonce en un... | |
| Paul Ackermann - 1841 - 134 pages
...montagne, à l'ombre d'un viens chêne. Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. De Lamartine. L'Isolement. QUALIFICATIF. Constructions servant à fixer l'attention... | |
| Alphonse de Lamartine - 1849 - 388 pages
...la montagne, à l'ombre du vieux chêne , Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ; II serpente , et s'enfonce en un... | |
| Pauline Fouré-Löffler - 1853 - 638 pages
...la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule ii mes pieds. Ici gronde le fleuve aux vagues écnmantes, II serpente, et s'enfonce en un... | |
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