...mouvement de joie. L'idé« de la honte n'avait l/oint approché de mon éducation sauvage. (p- 96.) VIII Je revis ces campagnes, où j'entendis si souvent...grive. Quand je l'écoutais alors, j'étais triste comme aujourd'hui, mais f] uclle différence de tristesse! Cette première tristesse était celle qui...

...mouvement de joie. L'idée de la honte n'avait point approché de mon éducation sauvaae. (p. 96.) VIII Je revis ces campagnes, où j'entendis si souvent...grive. Quand je l'écoutais alors, j'étais triste comme aujourd'hui mais quelle difference de tristesse! Cette première tristesse était celle qui natt...

...mouvement de joie. L'idée de la honte n'avait point approché de mon éducation sauvage. (P- 96.) VIII Je revis ces campagnes, où j'entendis si souvent...grive. Quand je l'écoutais alors, j'étais triste comme aujourd'hui mais quelle différence de tristesse! Cette première tristesse était celle qui...

...gazouillement d'une grive perchée sur la plus haute branche d'un bouleau. A l'instant, ce son magique fit reparaître à mes yeux le domaine paternel ; j'oubliai...campagnes où j'entendis si souvent siffler la grive ». Et une des deux ou trois plus belles phrases de ces mémoires n'est-elle pas celle-ci : « Une...

...sur la plus haute branche d'un bouleau. A l'instant, ce son magique fit reparaître à mes yeux (me le domaine paternel; j'oubliai les catastrophes dont...campagnes où j'entendis si souvent siffler la grive. » Et une des deux ou trois plus belles phrases de ces Mémoires n'est-elle pas celle-ci : « Une odeur...