Oeuvres choisies de Beaumarchais, Volume 4Ménard et Desenne, 1818 |
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ACTE affreux Almaviva Altamort amour ARTHENÉE Astasie ATAR avez BEAUMARCHAIS BÉGEARS bonheur Brama bras bruit CALPIGI chant cher CHŒUR ciel cœur colère COMTE COMTESSE crie crime d'Astasie d'Ormus danse désespoir diamans Dieu dieux dois donne douleur égaré ÉLAMIR enfans enfant époux esclaves eunuques Euvres choisies femme FIGARO fils FLORESTINE fureur furieux GEARS GEARSS GÉNIE DU FEU grand-prêtre GUILLAUME hélas heureux homme Irza j'ai j'en joie l'autre l'écrin L'épouse l'Opéra larmes LÉON lettre m'en Madame main maître malheureux maman Mère Coupable millions d'or Monsieur Bégearss monstre mort muet musique NATURE Ombres pable palais d'Atar papiers pardon parle père perfide peuple plaisir pleurer poëme poignard povero PRÉCÉDENS prêtres qu'un remet reste rien s'il sais Salieri SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII secret Seigneur sera sérail seul sois soldats sort spectacle SPINETTE sultane sur-tout SUZANNE Tarare théâtre représente trouble URSON vais veut veux vivement vœux voilà vois
Popular passages
Page 4 - J'ai donc pensé avec les comédiens que nous pouvions dire au public : Après avoir bien ri, le premier jour, au Barbier de Séville, de la turbulente jeunesse du comte Almaviva, laquelle est à peu près celle de tous les hommes; Après avoir, le second jour, gaiement considéré, dans la Folle Journée, les fautes de son âge viril, et qui sont trop souvent les nôtres...
Page 162 - A moi, monsieur? Non, s'il vous plaît! moi, gâter par un vil salaire le bon service que j'ai fait! Ma récompense est de mourir chez vous. Jeune, si j'ai failli souvent, que ce jour acquitte ma vie!
Page 171 - Qui diable est-ce donc qu'on trompe ici? Tout le monde est dans le secret ! BARTHOLO, haut.
Page 48 - dois plus vous voir, la vie m'est odieuse, et je vais « la perdre avec joie dans la vive attaque d'un fort « où je ne suis point commandé.
Page 171 - Je ne sais pas comment l'opéra, avec une musique si parfaite et une dépense toute royale, a pu réussir à m'ennuyer.
Page 50 - Ah ! ce n'est point légèrement qu'on a donné tant d'importance à la fidélité des femmes ! Le bien, le mal de la société, sont attachés à leur conduite ; le paradis ou l'enfer des familles dépend à tout jamais de l'opinion qu'elles ont donnée d'elles.