Madame Swetchine, sa vie et ses œuvres, publ. par le cte de Falloux, Volume 21860 |
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aimer AIRELLES àme âmes amour assez beauté beauté du diable besoin blerait bonheur carac caractère céleste CHAPITRE charité châtiment cher chose chré chrétien christianisme ciel cœur conscience consolation coupable créature Dannecker destinée dévouement dignité dire divine douleur espé espérances esprit force gloire hommes humaine indis inex instincts intelli intelligence intérieure jamais jeunesse joie jour justice l'àge l'âme l'amour l'Église l'esprit l'éternité l'homme l'humilité laisse lative liberté libre loppement lui-même lumière LXVII Mahomet main maître malheur ment mérite miséricorde Mme Swetchine monde morale mort n'est-ce nature nisme nous-mêmes nuit NUNC DIMITTIS ô mon Dieu panthéisme parole passe passion peines pensée piété pieuses précepte présent prière profonde Providence puissance puisse qu'une quiétisme rance résignation reste révèle rien s'il sagesse saint sait Seigneur semble sentiments serait seul souf souffrance souffrir soumission souvent stoïcisme système terre tible tion vérité vertu vieillard vieille vieillesse vivre voie volonté vrai yeux
Popular passages
Page 126 - Une femme qui voue sa fidélité à une affection coupable , c'est vraiment comme ces ouvriers qui font .le lundi au lieu du dimanche.
Page 211 - La vieillesse est la nuit de la vie; la nuit est la vieillesse de la journée, et néanmoins la nuit est pleine de magnificences, et, pour bien des êtres, elle est plus brillante que le jour. » Voici qui me paraît un peu risqué et inexact : « La vieillesse est le dôme majestueux et imposant de la vie humaine.
Page 16 - La politesse, chez une maîtresse de maison, consiste à alimenter la conversation et à ne s'en emparer jamais; elle a la garde de cette espèce de feu sacré , mais il faut que tout le monde puisse s'en approcher.
Page 289 - Père me donne viendront à moi ; et je ne jeterai point dehors celui qui vient à moi; 38. car je suis descendu du ciel, non pour faire ma volonté, mais pour faire la volonté de celui qui m'a envoyé.
Page 17 - disait : Faisons du bien à qui nous aime, et du « mal à qui nous hait. Socrate a changé ce pré« cepte, et a dit : Faisons du bien à nos amis, et « ne faisons point de mal à nos ennemis.
Page 170 - L'homme le plus riche est celui dont le long horizon a Dieu pour terme ; c'est le vieillard surtout, qui répète avec Young l'admirable vers de ce poète : « Chaque moment vaut l'éternité puisqu'il peut la donner. » Connaissant la valeur du temps, on aspire à le sauver, à le mettre en œuvre ; par l'ardeur du désir qu'on a de l'exploiter, l'âme va plus...
Page 196 - En vérité, en vérité, je vous le dis-, lorsque vous étiez plus jeune, vous vous ceigniez vous-même, et vous alliez où vous vouliez ; mais lorsque vous serez vieux , vous étendrez vos mains, et un autre vous ceindra et vous mènera où vous ne voudrez pas.
Page 113 - Si vous dites la vérité dans sa juste mesure, en dégageant sa substance de tout alliage de passion humaine , vous n'êtes pas coupable des révoltes indignées qu'elle peut rencontrer; mais si vous l'avez outrée, si vous la faites sortir de sa sainte impassibilité, si vous ne la maintenez pas dans ses termes les plus sincères , vous êtes responsable de la révolte dont elle est l'objet et des conséquences qui peuvent en être la suite.
Page 71 - V. Je vous parle de tout, ô mon Dieu! je vous occupe de tout ce qui m'occupe, je vous convie à tout ce qui m'intéresse; c'est si simple, serait-ce téméraire ? VI. Si on me demandait comment je comprends à mon usage le bonheur céleste, je répondrais : Le ciel, c'est aimer en paix. VII. Je suis avec le bon Dieu comme on dit que les femmes russes sont avec leurs maris : plus il me bat et plus je l'aime. Voilà tout ce que le démon Y gagne.
Page 206 - L'erreur qui consiste à croire qu'il est pour l'Eglise une ère de décrépitude, est la même qui admet pour le principe immatériel- dans l'homme une égale décroissance : ces opinions marchent de front, parce qu'il s'agit de part et d'autre d'assimiler toujours à la loi qui régit la matière, celle qui régit l'esprit. « Remarquons en passant que nos célèbres prosateurs conservent leur supériorité jusqu'au déclin de l'âge; nos poètes, sauf le cas de génie hors ligne, tombent avant...