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" ... et de l'exprimer pour moi, sans qu'ils y prissent garde; et puis ils m'en donnaient tout l'honneur. Enfin ils me mettaient à mon aise; et moi qui m'imaginais qu'il y avait tant de mystère dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée... "
Recollections of a Chaperon - Page 191
by Arabella Jane Sullivan, Barbarina Brand (baroness Dacre) - 1833
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Œuvres complètes de Marivaux ...

Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux - 1825 - 526 pages
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde , et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...qu'il n'y avait rien de si particulier dans la leur 1 , rien qui me fût si étranger ; mais seu1 J'étais bien surprise de voir qu'il n'y avait rien de...
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Recollections of a Chaperon, Volume 1

Arabella Jane Sullivan - 1833 - 322 pages
...— just like me." " Pooh, child ! — he is a very well-bred man, and was too polite to let you feel you bored him. You must learn not to be led into pouring...quelque chose de liant, d'obligeant, et d'aimable. MARIVAUX. LUCY went to bed uneasy at having had such bad manners, and yet not altogether mortified...
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Recollections of a Chaperon, Volume 2

Arabella Jane Sullivan - 1833 - 212 pages
...regardfe comma une science qui m'etait totalei lent inconnue, et dont je n'avais nul principe, j'etais bien surprise de voir qu'il n'y avait rien de si particulier dans la leur, rien qui me flit si Stranger ; mais seulement quelque chose de liant, d'obligeant, et d'aimable. MARIVAVX. LUCY...
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La vie de Marianne ou les aventures de la Comtesse de ***, avec une notice ...

Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux - 1842 - 614 pages
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde , et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable. Il me semblait que cette politesse était celle que toute âme honnête , que tout esprit bien fait...
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Marivaux, sa vie et ses oeuvres: d'après de nouveaux documents, Volume 1

Gustave Larroumet - 1882 - 672 pages
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...seulement quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable '. Cette page est l'une des meilleures de Marivaux et l'une des plus heureuses définitions de la bonne...
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Marivaux, sa vie et ses oeuvres: d'après de nouveaux documents, Volume 1

Gustave Larroumet - 1882 - 672 pages
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...me fût si étranger; mais seulement quelque chose déliant, d'obligeant et d'aimable '. Cette page est l'une des meilleures de Marivaux et l'une des...
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Marivaux, sa vie et ses oeuvres

Gustave Larroumet - 1894 - 554 pages
...la politesse des gens du monde, ct qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalemenl inconnue et dont je n'avais nul principe, j'étais...me fût si étranger; mais seulement quelque chose deliant, d'obligeant et d'aimable '. Celte page, l'une des meilleures de Marivaux, est aussi l'une...
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La société française du XVIe siècle, au XXe siècle

Victor Du Bled - 1905 - 344 pages
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue et dont je n'avais nul principe, j'étais bien surpris de voir qu'il n'y avait rien de si particulier dans la leur, rien qui me fût si étranger,...
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Marivaux

Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, Francisque Vial - 1908 - 434 pages
...m'imaginais qu'il y avait tant de mystères dans la politesse des gens du monde, et qui l'avais regardée comme une science qui m'était totalement inconnue...quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable. Il me semblait que cette politesse était celle que toute âme honnête, que tout esprit bien fait...
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La vie parisienne au XVIIIe siècle

Musée Carnavalet - 1928 - 308 pages
...une science qui m'était totalement inconnue, l'étais bien surprise de voir qu'il n'y avait rien de particulier dans la leur, rien qui me fût si étranger,...quelque chose de liant, d'obligeant et d'aimable. » Je vous cite ce passage, car il nous donne mieux que tout autre l'impression de la vie de société...
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