Scritti critici

Front Cover
F. Perrella, 1907 - 583 pages
 

Selected pages

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 556 - ... monti opposti, scendere, come spiegandosi rapidamente, giù per i pendii, e nella valle. Un venticello d'autunno, staccando da' rami le foglie appassite del gelso, le portava a cadere, qualche passo distante dall'albero.
Page 563 - Seguiron poi altri grandi avvenimenti, che però non portarono nessun cambiamento notabile nella sorte de' nostri personaggi. Finalmente nuovi casi, più generali, più forti, più estremi, arrivarono anche fino a loro, fino agli infimi di loro, secondo la scala del mondo: come un turbine vasto, incalzante, vagabondo, scoscendendo e sbarbando alberi, arruffando tetti, scoprendo campanili, abbattendo muraglie, e sbattendone qua e là i rottami, solleva anche i fuscelli nascosti tra l'erba, va a cercare...
Page 386 - ... n'avait pas droit au Roman ; si ce monde sous un monde, le peuple, devait rester sous le coup de l'interdit littéraire et des dédains d'auteurs qui ont fait jusqu'ici le silence sur l'âme et le cœur qu'il peut avoir.
Page 355 - Les contes de l'abbé sont bons, mais il les joue supérieurement. On n'y tient pas. Vous auriez trop ri de lui voir tendre son cou en l'air, et faire la petite voix pour le rossignol, se rengorger et prendre le ton rauque pour le coucou ; redresser ses oreilles, et imiter la gravité bête et lourde de l'âne ; et tout cela naturellement et sans y tâcher.
Page 566 - ... l'uomo, fin che sta in questo mondo, è un infermo che si trova sur un letto scomodo più o meno, e vede intorno a sé altri letti, ben rifatti al di fuori, piani, a livello: e si figura che ci si deve star benone. Ma se gli riesce di cambiare, appena s'è accomodato nel nuovo, comincia, pigiando, a sentire, qui una lisca che lo punge, lì un bernoccolo che lo preme: siamo in somma, a un di presso, alla storia di prima.
Page 356 - Sa pénétration est telle, qu'il n'ya point de matière ingrate ou usée pour lui. Il a le talent de voir, dans les sujets les plus communs, toujours quelque face qu'on n'avait point observée ; de lier et d'éclaircir les plus disparates, par des rapprochements singuliers; et de trancher les difficultés les plus sérieuses , par des apologues originaux dont les esprits superficiels ne sentent pas toute la portée.
Page 11 - C'est là que je ferai ma lente promenade Avec les deux marmots. J'entendrai tour à tour Ce que Georges conseille à Jeanne, doux amour, Et ce que Jeanne enseigne à George. En patriarche Que mènent les enfants, je réglerai ma marche Sur le temps que prendront leurs jeux et leurs repas, Et sur la petitesse aimable de leurs pas.
Page 489 - Certo è in lei non so che troppo elevato, troppo tipico, che ce la tiene a distanza, come fosse una Madonna, è in lei troppo della santa, ed assai poco di quel femminile, che ci rende così amabili le Giuliette e le Margherite...
Page 407 - ... de mariages et de toutes choses qui se traitent plus convenablement dans un jardin que dans une église où il faudra, à l'avenir, se donner rendez-vous. Je suis persuadé, continuai-je, que les jardins des rois ne sont si grands et si spacieux qu'afin que tous leurs enfants puissent s'y promener.
Page 150 - Nimfe ignude, le quali dietro un tronco di castagno stavano quasi mezze nascose, ridendo di un montone, che per intendere a rodere una ghirlanda di quercia, che dinanzi agli occhi gli pendea, non si ricordava di pascere le erbe, che d'intorno gli stavano. In questo venivano' quattro Satiri

Bibliographic information