Car on l'a très-justement remarqué, et les lettres de Gœthe, écrites dans le cours de cette inspiration, nous le confirment; ce n'est pas le désespoir, c'est plutôt l'ivresse bouillonnante et la joie qui président à la conception de Werther; c'est... Revue contemporaine - Page 1551855Full view - About this book
| Johann Wolfgang von Goethe - 1842 - 682 pages
...une teinte de sombre ou de mélancolique que n'a pas le Werther du début. Car on l'a très-justement remarqué, et les lettres de Gœthe, écrites dans...sincère, et a jailli de l'imagination et de la pensée de Gœthe. Voilà le vrai du livre et son cachet immortel ; le reste, désespoir final , coup de pistolet... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1856 - 452 pages
...mélancolique que n'a pas le Werther du début. Car on l'a très-justement remarqué, et les lettres de Goethe, écrites dans le cours de cette inspiration, nous...génie de la force et de la jeunesse, l'aspiration, doulou(l) 11 se rappelle en cet endroit l'Odyssée, livre I, vers 96-99. reuse sans doute, mais ardente... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1856 - 458 pages
...mélancolique que n'a pas le Werther du début. Car on l'a très-justement remarqué, et les lettres de Goethe, écrites dans le cours de cette inspiration, nous...conception de Werther ; c'est le génie de la force et do la jeunesse, l'aspiration, doulou(i) 11 se rappelle en cet endroit ['Odyssée, livre I, vers 96-99.... | |
| 1860 - 652 pages
...SainteBeuve a fait preuve d'une rare sagacité lorsqu'il caractérise ainsi la première partie du roman : « Ce n'est pas le désespoir, c'est plutôt l'ivresse...avant tout et conquérante, vers l'inconnu et vers l'inlini ...» N'oublions pas, en effet, que Gœthe était déjà guéri, ou peu s'en faut (nous le... | |
| 1867 - 712 pages
...maintenir jusqu'au bout à un pareil diapason. Dans Werther, ainsi qu'on l'a justement remarqué1, «ce n'est pas le désespoir, c'est plutôt l'ivresse...bouillonnante et la joie qui président à la conception du roman : le livre de Foscolo, fruit d'un accès de délire éloquent, amené par un concours étrange... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1868 - 554 pages
...une teinte de sombre ou de mélancolique que n'a pas le Werther du début. Car on l'a très-justement remarqué, et les lettres de Gœthe, écrites dans...sincère, et a jailli de l'imagination et de la pensée de Gœthe. Voilà le vrai du livre et son cachet immortel ; le reste, désespoir final, coup de pistolet... | |
| Amédée Roux - 1870 - 538 pages
...pourra faire pour se maintenir à un pareil diapason. Dans Werther, ainsi qu'on l'a justement remarqué, ce n'est pas le désespoir, c'est plutôt « l'ivresse...bouillonnante et la joie » qui président à la conception du roman ; le livre de Foscolo, fruit d'un accès de délire éloquent, amené par un concours étrange... | |
| Jacques Demogeot - 1880 - 404 pages
...qui reste vrai pour nous encore, à travers toutes les vicissitudes de la mode et des genres1. » « On l'a très justement remarqué, et les lettres de...source élevée et débordante y est sincère, et ajailli de l'imagination et dela pensée de Gœthe. Voilà le vrai du livre et son cachet immortel... | |
| Jacques Demogeot - 1880 - 410 pages
...vicissitudes de Ja mode et des genres1. » « On l'a très justement remarqué, et les lettres do Goethe écrites dans le cours de cette inspiration nous le...source élevée et débordante y est sincère, et ajailli de l'imagination et de la pensée de Gœthe. Voilà le vrai du livre et son cachet immortel... | |
| Johann Wolfgang von Goethe - 1880 - 370 pages
...l'ivresse bouillonnante et la joie !. Il se rappelle en cet endroit l'Odyssée, livre I, vers 96-99. qui président à la conception de Werther ; c'est...sincère, et a jailli de l'imagination et de la pensée de Gœthe. Voilà le vrai du livre et son cachet immortel ; le reste, désespoir final, coup de pistolet... | |
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