Pétrarque et l'humanisme, Volume 1

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H. Champion, 1907 - 328 pages
 

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Popular passages

Page 191 - Stazio la gente ancor di là mi noma: Cantai di Tebe, e poi del grande Achille, Ma caddi in via con la seconda soma. Al mio ardor fu seme le faville Che mi scaldar della divina fiamma Onde sono allumati più di mille; Dell' Eneida dico, la qual mamma Fummi, e fummi nutrice poetando: Senz' essa non fermai peso di dramma.
Page 155 - Quando un cor tante in sé virtuti accolse ? Benché la somma è di mia morte rea ! Per divina bellezza indarno mira, Chi gli occhi di costei giammai non vide Come soavemente ella gli gira : Non sa come Amor sana e come ancide, Chi non sa come dolce ella sospira E come dolce parla e dolce ride.
Page 171 - Con lei foss'io da che si parte il sole e non ci vedess'altri che le stelle, sol una notte, e mai non fosse l'alba...
Page 155 - Sebbene il Petrarca ravvisasse ne' poeti latini i maestri suoi, per gran ventura giudicò nondimeno che non sarebbero potuti degnamente imitarsi nella lingua italiana: quindi tolse da essi parcamente; né so ravvisare più di due o tre versi di Virgilio, di Ovidio e di Grazio, di cui, tentato piuttosto da inevitabile reminiscenza che da propostasi imitazione, accidentalmente e" si giovasse: Agnovit longe gemitum praesaga mali mens.
Page 128 - ... par le charme et la beauté du sujet, par la grâce et l'art du narrateur; maintenant même, les hommes se résignent difficilement à y renoncer et souffrent de se dépouiller d'une erreur si douce. Je sais ce que j'en dis, moi qui suis le premier et même le seul, de nos jours en Italie ', à avoir renversé ce mensonge.
Page 97 - G. MAZZATINTI, La biblioteca dei Re d'Aragona in Napoli, Rocca S. Casciano 1897, p.
Page 218 - Tullio e quelle gustando ed intendendo, adattandosi quanto potè e seppe a quella elegantissima e perfettissima facondia : e per certo fece assai, solo a dimostrare la via a quelli che dopo lui avevano a seguire.
Page 216 - On sait, par une lettre de Vaucluse, écrite pendant que le manuscrit de Lapo s'y trouvait, quel en était le contenu ou du moins quels ouvrages Pétrarque y remarquait le plus : Delectari mihi itaque uisus est Cicero et cupide mecum esse ; decem ibi nempe tranquillos atque otiosos dies egimus...
Page 42 - Cet illettré était fort ami des lettres et gardait avec une vigilance particulière les livres qu'il savait m'être les plus chers. Il était même parvenu par une longue habitude à connaître de nom les œuvres des Anciens et à distinguer au milieu d'eux mes modestes travaux.
Page xv - J'aime attaquer des personnages si dédaigneusement négligents et si frivolement curieux. Pourquoi travailler sans cesse dans le vide, ô malheureux, et vous exercer l'esprit sur de vaines subtilités? Pourquoi oublier la réalité des choses pour vieillir parmi les mots, et avec des cheveux blancs et un front ridé, vous occuper toujours d'enfantillages? Et plût à Dieu que votre folie ne nuisît qu'à...

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