Histoire des littératures étrangères considérées dans leurs rapports avec le développement de la littérature française, Volume 1Hachette et cie, 1880 - 822 pages |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 231 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Page 159 - Mariana rapporte que, dans le xi" siècle, au siège de Calcanassor, un pauvre pêcheur chantait alternativement en arabe et en langue vulgaire une complainte sur le sort de cette malheu•reuse ville. Le même air s'appliquait tour à tour aux paroles étrangères et nationales. On le voit par cet exemple : en...
Page 242 - Ma flamme assez longtemps n'ait combattu [pour toi : Juge de son pouvoir : dans une telle offense J'ai pu délibérer si j'en prendrais vengeance. Réduit à te déplaire, ou souffrir un affront...
Page 310 - Rodrigue, as-tu du cœur? — Tout autre que mon père L'éprouverait sur l'heure.
Page 376 - Espagnols des sujets qui, traités dans notre goût » par des mains comme les vôtres, produiraient de » grands effets. Apprenez leur langue, elle est aisée; je » m'offre de vous montrer ce que j'en sais, et, jusqu'à » ce que vous soyez en état de lire par vous-même, de » vous traduire quelques endroits de Guillen de Cas
Page 142 - Marcher d'un grave pas et d'un grave souci, Et d'un grave souris à chacun faire fête, Balancer tous ses mots, répondre de la tête, Avec un messer non, ou bien un messer si, Entremêler souvent un petit et cosi, Et de son servitor contrefaire l'honnête, Et comme si l'on eût sa part à la conquête, Discourir sur Florence et sur Naples aussi : Seigneuriser...
Page 72 - C'était une chose aussi admirable qu'éloignée de nos mœurs, de voir ce citoyen, qui faisait toujours le commerce, vendre d'une main les denrées du Levant, et soutenir de l'autre le fardeau de la république ; entretenir des facteurs, et recevoir des ambassadeurs ; résister au pape, faire la guerre et la paix, être l'oracle dos princes, cultiver les belles-lettres, donner des spectacles au peuple, et accueillir tous les savants grecs de Constantinople.
Page 119 - ... tienne. Et jamais un prince ne manquera de raisons légitimes pour colorer son manque de foi. Celui qui sait le mieux jouer le rôle du renard est celui qui réussit le mieux; mais il faut savoir bien colorer ce caractère, et être habile à simuler et à dissimuler. Les hommes sont si simples, ils obéissent si bien aux nécessités présentes, que celui qui trompe trouvera toujours qui se laisse tromper. Il est difficile d'exprimer dans un meilleur style de plus détestables maximes. L'historien...
Page 320 - Je suis mystérieusement prédestiné, Lisardo ; ne vous attaquez pas à moi ! La mort ne voudra pas de moi, vous dis-je. Les murs d'un couvent ne protégeront pas votre sœur. Je suis prêt à vous satisfaire; car apprenez que nul n'a des passions plus terribles, nul n'a plus soif de sang, nul n'est plus éloigné de craindre que cet homme qui est devant vous, Ettsèbe de la Croix.
Page 27 - Frère le Feu, par lequel tu illumines la nuit : il est beau et agréable, indomptable et fort. Loué soit mon Seigneur pour notre Mère la Terre, qui nous soutient et nous nourrit, et qui produit toute sorte de fruits, les fleurs colorées et les herbes.