Génie du Christianisme: ou Beaute's de la religion chrétienne, Volume 5Chez Migneret, imprimeur, 1802 |
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Académie des Sciences Amérique ames André Chénier APPENDICE Archevêchés atômes auroient auroit auteur avoient avoit beauté Bruma catholiques cause Chefs-lieux d'Hôpitaux chose a existé Chrichnen chris colonie connoissance critiques Cumana decad devoit Diego Colomb diens Dieu dieux dire divine enfans Espagnols éternité étoient étoit Evêchés falloit Génie du Christianisme Grégoire de Nazianze habitans Herrera Hispaniola hist hommes indépendant et immuable Indiens infinie Irlande Irlandois jamais Juifs l'ame l'Amérique l'auteur du Génie l'Ecriture l'église l'esprit l'homme l'ouvrage l'univers lecteur livre loix matière Ménandre ment MIGNERET monde Monseigneur Montesquieu morale mouvement Moyse mystère n'étoit Nahandove nécessité Origène ouvrage Oviedo Paroisses paroît payens paysage pensée père peuple philosophes plan Platon poëme poésie pourroit premier preuves principe raison rat musqué religieux repartimientos rien Romains Routren saint Sattiavarti sentimens seroient seroit seul siècles sujet surintendans systême tableau terre tianisme tion Trinité trouve Universités vérité Vichnou Voltaire Ximenès τὴν сс כב ככ
Popular passages
Page 14 - M. l'abbé -Fleury, dans ses Mœurs des chrétiens, pense que les anciens monastères sont bâtis sur le plan des maisons romaines, telles qu'elles sont décrites dans Vitruve et dans Palladio. « L'église, dit-il, qu'on trouve la première, afin que l'entrée en soit libre aux séculiers, semble tenir lieu de cette première salle que les Romains...
Page 35 - Raymond de Sébonde a laissé un ouvrage écrit à peu près dans les mêmes vues que le Génie du Christianisme; Montaigne a pris la défense de cet auteur contre ceux qui avancent que les chrétiens se font tort de vouloir appuyer leur créance par des raisons humaines *. « C'est la foy seule , ajoute Montaigne, qui embrasse vivement et certainement les hauts mystères de notre religion. Mais ce n'est pas à dire que ce ne soit une très belle...
Page 4 - Souvent, las d'être esclave et de boire la lie De ce calice amer que l'on nomme la vie, Las du mépris des sots qui suit la pauvreté, Je regarde la tombe, asile souhaité; Je souris à la mort volontaire et prochaine; Je me prie, en pleurant, d'oser rompre ma chaîne; Le fer libérateur qui percerait mon sein Déjà frappe mes yeux et frémit sous ma main...
Page 78 - Tous ces éléments n'ont rien qui fasse la mémoire, l'intelligence, la réflexion; qui puisse rappeler le passé, prévoir l'avenir, embrasser le présent. Jamais on ne trouvera d'où l'homme reçoit ces divines qualités , à moins que de remonter à un Dieu.
Page 4 - Les écrits de ce jeune homme, ses connoissances variées , son courage , sa noble proposition à M. de Malesherbes, ses malheurs et sa mort, tout sert à répandre le plus vif intérêt sur sa mémoire. Il est remarquable que la France a perdu , sur la fin du dernier siècle , trois beaux talents à leur aurore : Malfilâtre, Gilbert et André Chénier ; les deux premiers sont morts de misère, le troisième a péri sur l'échafaud.
Page 58 - Young. pardonner; car si tu n'en as pitié, j'ai grand'peur que cette offense ne lui soit pas pardonnée; et soudain demanda ses Heures et se mit en oraison , et à prier Dieu la larme à l'œil.
Page 45 - ... présenter devant la lumière de la Trinité immortelle. Après ces paroles, elles s'envolèrent au ciel, et mes yeux les suivirent le plus loin qu'ils purent.
Page 9 - Toute la force de l'argument, quant à la dernière partie de l'objection, se réduit à ceci : «L'auteur a voulu considérer le christianisme dans ses relations avec la poésie; les...
Page 3 - Je n'ai vu jamais cette longue file de prêtres en habits sacerdotaux , ces jeunes acolytes vêtus de leurs aubes blanches , ceints de leurs larges ceintures bleues', et jetant des fleurs devant le...
Page 4 - D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami pour vivre et pour souffrir. Il a souffert, il souffre : aveugle d'espérance, II se traîne au tombeau de souffrance en souffrance | Et la mort, de nos maux ce remède si doux. Lui semble un nouveau mal, le plus cruel de tous.