Sixte-Quint, Volume 1A. Franck, 1870 |
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affaires Altemps ambassadeurs Arch avaient avril Babbi au grand-duc Badoer au doge bandits Bibl C'était cardinal d'Este cardinal de Joyeuse cardinal de Médicis catholique Charles-Quint chef choses Coll Côme conclave cour d'Autriche d'Espagne d'Este à Villeroy d'Urbin diplomatiques Disp donner écus Élisabeth espagnole Farnèse Ferrare Flor Florence Francesco Sansovino François François Ier Giovanni Gritti gouvernement Grégoire Grégoire XIII Gritti au doge guerre Harlay Henri III hommes d'État Ibid Italie jours l'ambassadeur de Venise l'Église l'Empereur l'état l'Italie l'un laissé lettres Lorenzo Priuli Madrid Madruccio main maison ment Milan monde Montalto mort Naples nonce Olivarès Orsini palais Paolo pape passé Paul Paul III Paul IV Peretti personne Philippe Pie IV Pisany politique Pologne pontife pontificat Prague premier princes Priuli au doge Quint réforme république Rome s'était sacré collége saint saint-père Savoie Seigneurie seulement siècle Simancas Sisto Sixte Sixte-Quint souvent souverain tions Vatican vénitiens
Popular passages
Page 44 - Suo cimitero da questa parte hanno Con Epicuro tutti i suoi seguaci Che l' anima col corpo morta fanno. Però alla dimanda che mi faci Quinc...
Page 105 - . Quelle différence avec Milan, selon lui la ville d'Italie la plus peuplée, grande et remplie de toutes sortes d'artisans et de marchands! Elle ressemble assez à Paris et a beaucoup de rapports avec les villes de France. On n'y trouve point les beaux palais de Rome, Naples, Gênes et Florence, mais elle l'emporte en grandeur, et le concours des étrangers n'y est pas moindre qu'à Venise. Malgré la prospérité de ses habitants, la richesse et le luxe de sa noblesse, Milan -avait un caractère...
Page 78 - ... exemplaires d'œuvres littéraires ou musicales. A Rome en particulier, il était facile de s'enrôler parmi les clients d'un prélat ou d'un prince. « Rome, disait en i563 un ambassadeur vénitien, est belle par elle-même, mais surtout belle par sa cour; car c'est certainement une grande chose que de voir affluer dans une ville une multitude de personnes de toutes les nations et de tous les rangs et catégories de la société, ce qui naît de l'espérance qu'a chacun de parvenir à ses fins....
Page 403 - Venise1, ont besoin d'un contre-poids, car si l'un d'eux prévaut, les autres courent grand risque qu'il ne leur demande bien des choses. » Ce n'était pas une raison pour taxer Sixte-Quint de mauvaise foi. Il est vrai qu'il n'aimait pas à débourser ses économies, ni à les mettre entre des mains peu habiles, ni à les dépenser en pure perte, comme il prévoyait qu'elles le seraient s'il concourait à de nouveaux armements espagnols. Du premier coup...
Page 334 - ... cette devise , Cives, dilecto civi, le peuple renversa ce mai pendant la nuit, désarma les troupes éparses dans le corps de garde, et alla attaquer la barrière Saint-Clair et le bureau des Fermes. On fit marcher des dragons sur le rassemblement principal ; les troupes firent feu, le peuple résista^ Il y eut de part et d'autre des morts et des blessés. Enfin les dragons se retirèrent sur la Croix-Rousse, et la nuit ramena le calme. A la nouvelle du renvoi des ministres, les trois ordres...
Page 79 - Tel autre, né dans l'obscurité et dans le denûment, mais se sentant de la valeur, soit dans les lettres, soit dans les affaires, se dirige vers cette cour, et, à peine arrivé, profitant de ses moyens et comptant sur le hasard, se met à l'œuvre et vise aux plus grands honneurs et même au pouvoir suprême; et qui est ami de l'indépendance et ne demande que ce qui est accessible à tous, choisit encore Rome pour séjour. Ce concours universel...
Page 2 - Le succès prodigieux qu'il eut parmi les contemporains ne saurait s'expliquer que par l'intérêt très-vif qui s'attachait aux souvenirs encore récents de Sixte-Quint, par l'attrait toujours puissant du scandale et de la proscription dont ce livre était frappé dans les pays catholiques, enfin par la forme populaire que, pour flatter le goût de ses lecteurs, Leti sut lui donner en faisant de son pape un héros de roman picaresque.
Page 3 - L'enfant qui garde les cochons ; le petit moine espiègle, le subordonné remuant, ambitieux, insupportable, le faiseur de mots facétieux, l'inquisiteur f anati que, l' hipocrite cardinal, jetant ses béquilles au moment de son élection, qu' il s'est assurée par une ruse vulgaire, le pape tyran, ami du roi de Navarre, alors chef des huguenots, ne songeant qu'à faire la guerre à Philippe II, qui est son principal soutien et le prince plus puissant de la Chrétienté, mourrant enfln empoissonné...
Page 249 - Ces fameuses béquilles dont on a tant parlé, qui ont passé à l'état d'article de foi, ces béquilles qu'au moment de son exaltation il jeta loin de lui, selon la légende plus symbolique encore que mensongère, laquelle, comme c'est souvent...
Page 151 - France le temps d'accourir : il écrivit à Henri III « de les faire monter à cheval et arriver avec la plus grande vitesse possible, les Espagnols faisant de grandes praticques pour eslire le Pape premièrement que fussent arrivez les cardinaulx françois