Pour second fondement, je pose que tout écrivain qui invente une fable dont les actions humaines font le sujet, ne doit représenter ses personnages, ni les faire agir que conformément aux mœurs et à la créance de son siècle. De la lecture des vieux romans - Page 12by Jean Chapelain, Alphonse Feillet - 1870 - 51 pagesFull view - About this book
| 1839 - 508 pages
...dans la Lettre de Chapelain déjà citée. Il pose en principe « que « tout écrivain qui invente une fable dont les actions humaines » font le sujet...puisqu'il est constant que nos idées ne vont guère » au-delà de ce que BOUS voyons ou de ce que nous entendons. • (I) 17»; (.3, p. »7. (J) 17 JS... | |
| Jean Chapelain - 1870 - 66 pages
...les Romains, que de nom seulement (3g). Pour second fondement, je pose que tout écrivain qui invente une fable dont les actions humaines font le sujet,...tire de son siècle , puisqu'il est constant que nos | — 13 — idées ne vont guère au delà de ce que nous voyons ou de ce que nous entendons. Comme... | |
| René Bray - 1927 - 406 pages
...ce que vous empruntez d'elle (4). » Chapelain disait expressément : « Tout écrivain qui invente une fable, dont les actions humaines font le sujet,...conformément aux mœurs et à la créance de son siècle (5). » Et d'Aubignac : « Les raisons historiques ne sont jamais assez fortes pour vaincre la persuasion... | |
| Edwige Keller - 2004 - 310 pages
...sans date, p. 173). 1820. Cette métamorphose ne pouvait être facile : « Tout écrivain qui invente une fable, dont les actions humaines font le sujet,...conformément aux mœurs et à la créance de son siècle »5, affirme Chapelain dans De la lecture des vieux romans. Et au XVIIe siècle, plus peut-être qu'à... | |
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