| François-René vicomte de Chateaubriand - 1802 - 358 pages
...de Niagara , qui , dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiloient à travers les forêts solitaires. La grandeur , l'étonnante mélancolie de' ce tableau , ne sauroierit s'exprimer dans les langues humaines , les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
| Damaze de Raymond - 1812 - 172 pages
...cataracte de la Niagara, qui , dans le calme de la nuit, se prolongeaient de déserts en déserts , et expiraient à travers les forêts solitaires. La...mélancolie de ce tableau ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. Au milieu de... | |
| Antonio Scoppa - 1812 - 610 pages
...intervalles, on entendait les roulemen» solennels de la cataracte de INiagara , qui , dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les foxêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie "de ce tabîeatt, ne sauraient s'exprimer... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1815 - 284 pages
...par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert,...mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. Au milieu de... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 474 pages
...de Niagara , qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert -, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauroient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 474 pages
...cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur , l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauroient s'exprimer dans les langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
| Timothy Flint - 1828 - 828 pages
...par intervalles, on entendait les roulemens solennels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert en désert, et expiraient à travers les forets solitaires. ' La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 460 pages
...cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante...mélancolie de ce tableau, ne sauraient s'exprimer dans les langues humaines; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée. En vain dans... | |
| 1834 - 632 pages
...par intervalles, on entendait les roulemens solemnels de la cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeaient de désert, en désert, et expiraient à travers les forêts solitaires. ne peuvent en donner une idée. En vain, dans nos champe culi ¡té*, l'imagination cherche à s'étendre;... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 288 pages
...cataracte de Niagara, qui, dans le calme de la nuit, se prolongeoient de désert en désert, et expiroient à travers les forêts solitaires. La grandeur, l'étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauroient s'exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner... | |
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