| José Cadalso - 1781 - 336 pages
...ses ayeux sont les froides reliques. J'y tours en soupirant , et sa grande me suit. De son gtnereux sang la trace nous conduit. Les rochers en sont teints. Les ronces dtgoûtantes fortent di sts cbeviux les depouilles tangíanles, Jarrive tje /' apelle , etme tendant... | |
| 1787 - 360 pages
...Où de» Rois ses aycux sont les froides retiques. Je cours , en soupirant , et sa garde me suit. De son généreux sang la trace nous conduit. les rochers en sont teints. Les ronces dégoûtante! Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. J'arrive, je l'appelle; et, me tendant... | |
| Jean Racine - 1796 - 466 pages
...Où des rois ses aïeux sont les froides reliques. Je cours en soupirant , et sa garde me suit. De son généreux sang la trace nous conduit: Les rochers...> II ouvre un œil mourant qu'il referme soudain. Le ciel, dit-il , m'arrache une innocente vie. Prends soin après ma mon de la triste Aride» Cher... | |
| Jean Racine - 1801 - 304 pages
...Où des rois ses aïeux sont les froides reliques. J'y cours en soupirant, et sa garde me suit ; De son généreux sang la trace nous conduit ; Les rochers...main, II ouvre un œil mourant qu'il referme soudain: '< Le ciel, dit-il, m'arrache nne innocente vie. « Prends soin après ma mort de la triste Aricie.... | |
| Charles Batteux - 1802 - 336 pages
...généreux sang la trace nous conduit, Les rochers eu sont teints ; les ronces dégoûtante! Portent clé Ses cheveux les dépouilles sanglantes ! J'arrive : je l'appelle , et me tendant la main 11 ouvre un œil mourant , etc. Rac. Pheâre. La Topographie décrit les lieux : *' Voyons-la dans... | |
| Jean Racine - 1804 - 384 pages
...des rois ses aïeux sont les froides reliques (4). J'y cours en soupirant, et sa garde me suit; De son généreux sang la trace nous conduit; Les rochers...sont teints, les ronces dégouttantes Portent de ses c.'ieveux les dépouilles sanglantes (5). J'arrive, je l'appelle; et, me tendant la main, Il ouvte... | |
| Jean Racine - 1805 - 348 pages
...des rois ses aïeux sont les froides reliques. JJ cours en soupirant , et sa garde me suit ; 4- * De son généreux sang la trace nous conduit ; Les rochers...sanglantes. J'arrive , je l'appelle ; et me tendant la main , Il ouvre un œil mourant qu'il referme soudain : « Le ciel, dit-il , m'arrache une innocente vie.... | |
| Urbain Domergue - 1806 - 562 pages
...J'aji A l'un des chêne? que voilà. Une grenouijje. iv^un boeuf, Qui lui sembla de jaelle taille. Les rochers en sont teints ; les ronces dégouttantes...Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes. OlfLE. La sainte ampoule, jouer à la boule; Qui ne court après la fortun^? / . Je voudrais être... | |
| Jean-François de la Croix - 1806 - 274 pages
...sa voix les effraie. Ils courent; tout son corps n'est bientôt qu'une plaie. J'arrive ; j'appelle ; et , me tendant la main , II ouvre un œil mourant, qu'il referme soudain. , RACINE. Esculape rendit la vie à Hippolyte, et Diane le transporta en Italie. Thésée mourut à... | |
| J. Louis R. Brunet (ed.) - 1807 - 280 pages
...froides relique». Д'у cours en soupirant, et. sa garde me suitj^. •( 455 У De »on gañeren* sang la trace nous Conduit ; Les rochers en sont teints , les ronces dégouttante« Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes, l'arrivé, je l'appelé ; 'et , me... | |
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