| Antonio Scoppa - 1812 - 610 pages
...satin blanc , se dispersaient en légers tloconi d'c'curne , ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on...scène sur la terre n'était pas moins ravissante; le jotir bleuâtre et velouté de la lune descendait dans, les intervalles des arbres , et poussait des... | |
| Damaze de Raymond - 1812 - 172 pages
...d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse etleur élasticité. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante. Le jour céruséen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts , en descendant... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1815 - 284 pages
...voile, et partout se formaient dans les cieux de grands blancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour céruléen et velouté de la lune, flottait silencieusement sur la cime des forêts, et descendant... | |
| Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 pages
...de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on...moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté de la luue, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumières jusque dans l'épaisseur... | |
| Timothy Flint - 1828 - 828 pages
...de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écumes, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on...sur la terre n'était pas moins ravissante: le jour bleu"itre et velouté de la lune, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes... | |
| 1836 - 432 pages
...voile, et par-tout se formaient dans les cieux de grands blancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil qu'on croyait ressentir leur mollesse...scène sur la terre n'était pas moins ravissante: le iour céruléen et velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts, et descendant... | |
| Adolphe Mazure - 1839 - 320 pages
...voile , et partout se formaient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur , si doux à l'œil , qu'on croyait ressentir leur mollesse...sur la terre n'était pas moins ravissante ; le jour velouté de la lune flottait silencieusement sur la cime des forêts, et, descendant dans les intervalles... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on...croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité a . •La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante; le jour bleuâtre et velouté* de la... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 646 pages
...dans les cieux des bancs d'une ouate « éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressen« tir leur mollesse et leur élasticité. « La scène sur la terre n'était pas moins ravis« sanle : le jour bleuâtre el veloulé de la lune des« ccndait dans les intervalles des arbres,... | |
| Norman Pinney - 1853 - 288 pages
...écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu' on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre n' était pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté3 de la lune descendait dans les intervalles... | |
| |