Etude sur G. Chaucer considéré comme imitateur des trouvères

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Page 52 - Thèbes et celui de Troie. Au lieu de nous laisser aller aux conjectures, il est plus sage de former des vœux pour la découverte d'un texte qui nous dise que cette charmante fiction est née de notre sol.
Page 117 - INell'ora che comincia i tristi lai la rondinella presso alla mattina, forse a memoria de' suoi primi guai, e che la mente nostra, peregrina più dalla carne e men da' pensier presa, alle sue visibn quasi è divina; in sogno mi parea veder sospesa un'aquila nel ciel con penne d'oro con l'ali aperte ed a calare intesa; ed esser mi parea là dove foro abbandonati i suoi da Ganimede, quando fu ratto al sommo concistoro.
Page 291 - Je sui de moi en grant merveille Comment je vifs, quant tant je veille, Et on ne porrait en veillant Trouver de moi plus travaillant : Car bien sacies que pour veiller Me viennent souvent travailler Pensees et melancolies,
Page 121 - Tanto, che l' ombra del beato regno Segnata nel mio capo io manifesti. Venir vedrami al tuo diletto legno , E coronarmi allor di quelle foglie . Che la materia e tu mi farai degno. Sì rade volte , Padre , se ne coglie , Per trionfare o Cesare o Poeta, ( Colpa e vergogna dell...
Page 34 - Chaucer . . . dès sa jeunesse, avait fait du Roman de la Rose son livre de prédilection. Il en traduisit une partie, et il prit des inspirations continuelles. C'est au point que ce poëte, qui sentait les beautés de la nature, qui savait les peindre, se contente souvent dans ses descriptions d'être le copiste de G. de Lorris ; que cet érudit . . . reproduit l'histoire romaine telle que J. de Meung la lui transmet, altérée par l'imagination des conteurs ; que cet homme de génie, qui mérite...
Page 251 - Chaucer n'est l'inventeur d'aucun des contes insérés dans son poc'me ... j'ai constaté que, dans les légendes, le pocte suit ordinairement le texte ; que, dans les lais bretons, il mêle l'érudition et la satire à l'élément chevaleresque ; qu'enfin, dans les fabliaux, tout en se conformant au canevas primitif, il devient créateur, à la manière de la Fontaine. . . . [p.
Page 34 - Molière, arrive à la vieillesse, toujours sous le joug de l'imitation, et n'ayant guère composé que des poëmes allégoriques. Quand il renonce à cette poésie de cour si fausse, si maniérée, et qu'il écrit le Pèlerinage de Canterbury, drame vivant et populaire, on retrouve dans son œuvre les traits saillants qui caractérisent la seconde partie du Roman de la Rose, de longues tirades contre les femmes et le ridicule jeté à pleines mains sur les ordres religieux. Sans doute il remonte...
Page 284 - Vitry qui trouva la maniere des motes et des balades et des lais et des simples rondeaux, et en la musique trouva les iiij prolacions et les notes rouges, et la novelete des proporcions.
Page 45 - I but an horse, and horses' law I must endure and with my feeres draw." Or, again, women with too pronounced a taste for fine apparel are likened to the cat...
Page 288 - ... deed, That Tesiphus that lieth in Hell, May not of more sorrow tell, And who so wist all, by my trouth, My sorrow, but he had routh And pitie of my sorrows smart, That man hath a fiendly herte : For whoso seeth me first on morrow, May saine he hath met with sorrow, For I am sorrow, and sorrow is I, Alas, and I will tell thee why, My sorrow is tourned to plaining, And all my laughter to weeping, My glad thoughts to heavinesse, In travaile is mine idlenesse, And eke my rest, my wele is wo, My good...

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