Histoire de la Langue Français: Études Sur Les Origines, L'étymologie, la Grammaire, Les Dialectes, la Versification Et Les Lettres Au Moyen Age, Volume 1Didier, 1863 |
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Popular passages
Page 401 - Soft hour ! which wakes the wish and melts the heart Of those who sail the seas, on the first day When they from their sweet friends are torn apart ; Or fills with love the pilgrim on his way, As the far bell of vesper makes him start, Seeming to weep the dying day's decay. Is this a fancy which our reason scorns ? Ah ! surely nothing dies but something mourns.
Page 400 - A' naviganti e intenerisce il cuore, Lo di e' han detto a' dolci amici addio; E che lo nuovo peregrin d'amore Punge, se ode squilla di lontano, Che paia '1 giorno pianger che si muore: Quand' io incominciai a render vano L'udire, ed a mirar una dell'alme Surta, che l'ascoltar chiedea con mano.
Page 398 - Li rami schianta, abbatte e porta fori, Dinanzi polveroso va superbo, E fa fuggir le fiere e li pastori.
Page 279 - Villon sut le premier, dans ces siècles grossiers, Débrouiller l'art confus de nos vieux romanciers.
Page 166 - ... un des rois, et, mettant un cor à sa bouche, Trois fois le sonne et en grelle et en gros. Ace signal, les chevaliers défoncent les tonneaux; la mêlée s'engage et la ville est conquise. Ainsi établi dans sa conquête, Guillaume commence à s'y ennuyer; il a tout en abondance...
Page 311 - Le génie même n'y saurait suppléer. S'il en est ainsi, on nous demandera à quelle époque de son histoire, déjà ancienne, notre langue fut digne de reproduire Homère. Nous répondons sans hésiter, comme sans prétendre au paradoxe : Si la connaissance du grec eût été plus répandue en Occident durant le moyen âge, et qu'il se fût trouvé au...
Page 418 - ... general ministra e duce, che permutasse a tempo li ben vani di gente in gente e d'uno in altro sangue, oltre la difension di senni umani; per ch'una gente impera ed altra langue, seguendo lo giudicio di costei, che è occulto come in erba l'angue.
Page 409 - Ahi quanto a dir qual era, è cosa dura , Questa selva selvaggia ed aspra e forte, Che nel pensier rinnova la paura ! Tanto è amara , che poco è più morte ; Ma per trattar del ben, ch' i' vi trovai, Dirò dell' altre cose ch' io v' ho scorte. l' non so ben ridir com' io v' entrai ; Tant' era pien di sonno in su quel punto, Che la verace via abbandonai.
Page 415 - E che gente è, che par nel duol sì vinta ? Ed egli a me : Questo misero modo Tengon 1' anime triste di coloro, Che visser senza infamia e senza lodo. Mischiate sono a quel cattivo coro Degli angeli che non furon ribelli, Né fur fedeli a Dio, ma per sé foro. Cacciarli i ciel per non esser men belli, Né lo profondo inferno gli riceve, Che alcuna gloria i rei avrebber d
Page 409 - Ah! que chose dure est de dire combien cette forêt était sauvage, épaisse et âpre; dans la pensée cela renouvelant la peur. Si amère elle était, que guère plus ne l'est la mort.