 | Marie-Joseph Chénier - 1829 - 398 pages
...retours du soleil « Sans connaître Gérés , ni tes yeux le sommeil : « Prends , mon fils ; laisse-toi fléchir à ma prière ; « C'est ta mère , ta vieille...«T'asseyait sur son sein, te portait dans ses bras; K Que tu disais aimer , qui t'apprit à le dire ; « Qui chantait, et souvent te forçait à sourire... | |
 | André Chénier - 1840 - 372 pages
...trois retours du soleil Sans connaître Cérès, ni tes yeux le sommeiL Prends, mon fils, laisse-toi fléchir à ma prière; C'est ta mère, ta vieille...qui t'apprit à le dire; Qui chantait, et souvent te forrait à sourire Lorsque tes jeunes dents, par de vives douleurs De tes yeux enfantins faisaient... | |
 | André Chénier - 1840 - 378 pages
...retours du soleil Sans connaître Cérès, ni tes yeux le sommeiL ''rends, mon fils, laisse-toi llechir à ma prière; C'est ta mère, ta vieille inconsolable...te guidait pas à pas, T'asseyait sur son sein, te priait dans se? bras; Qiw tu ,«*„•» ahuer, qui r an ,, ri t à le dire; Qui chantait, et souvent... | |
 | Charles Picot - 1845 - 260 pages
...fils, laisse-toi fléchir à ma pïièr£ ; C'est ta rnèye, ta vieille inconsolable mère v» ._ '. Qui pleure'; qui jadis te guidait pas à pas, *,,....T'asseyait sur son sein, te portait dans ses bras ; Q.ue tu disai^jijmer, qui t'apprit £. le dire ; Q,ui chantait, et souvent te forçait à sourire Lorsque "tes... | |
 | André Chénier - 1847 - 374 pages
...Prends, mon fils, laisse-toi fléchir à ma prière; C'est la mère, ta vieille inconsolable mère Oui pleure; qui jadis te guidait pas à pas, T'asseyait sur son sein, te portait dans ses bras; Qui chantait, et souvent te forcait à sourire Lorsque tes jeunes dents, par de vives douleurs, De... | |
 | André Chénier - 1852 - 348 pages
...trois retours du soleil Sans connaître Cérès , ni les yeux le sommeil. Prends, mon fils, laisse-toi fléchir à ma prière ; C'est ta mère , ta vieille...jadis te guidait pas à pas, T'asseyait sur son sein , le portait dans ses bras ; Que lu disais aimer, qui l'apprit à le dire; Qui chaulait , cl souvent... | |
 | André Chénier - 1862 - 606 pages
...connaître Gérés, ni tes yeux le sommeil. Prends, mon fils, laisse-toi fléchir à ma prière; 45 Cest ta mère, ta vieille inconsolable mère Qui pleure;...T'asseyait sur son sein, te portait dans ses bras ; (lait sur les lits (Virgile, Enéide, IX, 325) ; voy. surtout le passage de l'Odyssée , IV, 298,... | |
 | André Chénier - 1870 - 376 pages
...retours du soleil Sans connaître Gérès , ni les yeux le sommeil. Prends, mon fils, laisse-toi Iléchir à ma prière; C'est ta mère, ta vieille inconsolable...portait dans ses bras; Que tu disais aimer, qui t'apprit a le dire; Qui chantait, et souvent te forçait à sourire Lorsque tes jeunes dents, par de vives douleurs,... | |
 | André Chénier - 1872 - 658 pages
...XI : « 0 douce noire nuict. » Ici la double épithète qu'emploie André est belle et touchante. Qui pleure ; qui jadis te guidait pas à pas, T'asseyait...; Qui chantait, et souvent te forçait à sourire so Lorsque tes jeunes dents, par de vives douleurs, De tes yeux enfantins faisaient couler des pleurs.... | |
 | Frédéric Eugène Godefroy - 1876 - 546 pages
...trois retours de soleil Sans connaître Gérés, ni tes yeux le sommeil. Prends, mon fils, laisse-toi fléchir à ma prière : C'est ta mère, ta vieille...bras; Que tu disais aimer, qui t'apprit à le dire, (jui chantait, et souvent te forçait à sourire Lorsque tes jeunes dents,- par de vives douleurs,... | |
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T'asseyait sur son sein, te portait dans ses bras; Que tu disais aimer, qui t'apprit à le dire ; Qui chantait; et souvent te forçait à sourire Lorsque tes jeunes dents, par de vives douleurs, De tes yeux enfantins faisaient couler les pleurs. 
