Œuvres complètes der A. F Ozanam: La civilisation au cinquième siècle

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J. Lecoffre, 1873
 

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Popular passages

Page 224 - Mon fils, s'écria-t-il en s'approchant de moi, le séraphin n'est plus sur la terre. A peine hier m'étois-je éloigné de vous, que je vis, au milieu d'un...
Page 433 - Idsunt : primum in Papia conveniant ad Dungalum de Mediolano, de Brixia, de Laude, de Bergamo, de Novaria, de Vercellis, de Tertona, de Aquis, de Janua, de Aste, de Cuma...
Page 43 - C'est cette unité de personne qui fait dire que le Fils de l'homme est descendu du ciel, et que le Fils de Dieu a pris chair de la vierge...
Page 267 - ... mon cœur. Partout présent pour moi, je te » verrai par la pensée , je t'embrasserai par l'âme; » et, lorsque, délivré de cette prison du corps, je » m'envolerai de la terre, dans quelque astre » du ciel que me place le Père commun, là » je te porterai en esprit ; et le dernier moment » qui m'affranchira de la terre ne m'ôtera pas la » tendresse que j'ai pour toi; car cette âme, qui » survivant à nos organes détruits se soutient » par sa céleste origine, il faut bien qu'elle...
Page 161 - Bible en triomphe et de la couvrir d'or ; ce premier des livres anciens est aussi le premier des livres modernes ; il est pour ainsi dire l'auteur de ces livres mêmes, car de ses pages devaient sortir toutes les langues, toute l'éloquence, toute la poésie et toute la civilisation des temps nouveaux.
Page 260 - Ambroise ne s'était pas borné à introduire le chant ; lui-même avait composé les hymnes qui devaient être chantées dans son église. On en a rassemblé un grand nombre sous son nom, qui sont plutôt l'œuvre de ses disciples ou des temps postérieurs, mais qui ont été composées conformément à son esprit et aux règles qu'il avait données. On ne peut lui en attribuer avec fondement que douze, mais pleines d'élégance et de beauté, d'un caractère encore tout romain par leur gravité,...
Page 266 - dit-il, ô mon père! rappelles-tu en ma faveur » les Muses que j'ai répudiées ? Ce cœur consacré » maintenant à Dieu n'a plus de place pour » Apollon et pour les Muses. Je fus d'accord » avec toi , jadis , pour appeler, non pas avec le » même génie , mais avec la même ardeur, un » Apollon , sourd dans sa grotte de Delphes , et » pour nommer les Muses des divinités, en de...
Page 415 - Imposita est, geminas opifex libravit in alas Ipse suum corpus ; motaque pependit in aura. Instruit et natum; « Medioque ut limite curras, Icare, ait, moneo : ne, si demissior ibis, Unda gravet pennas ; si celsior, ignis adurat.
Page 125 - Puis, toujours en compagnie du Christ, après avoir passé par Silo, Béthel et les autres lieux où des églises s'élèvent comme les trophées des victoires du Seigneur, nous reviendrons à notre grotte de...
Page 42 - ... à la nature divine. Une nature n'est point altérée par l'autre ; le même qui est vrai Dieu est vrai homme; il n'ya point de mensonge dans cette union. Comme Dieu ne change point par la grâce qu'il nous fait, l'homme n'est point consumé par la dignité qu'il reçoit. Le Verbe et la chair gardent les opérations qui leur sont propres; l'un fait des miracles , l'autre souffre les injures.

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