Le Correspondant, Volume 231849 |
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actuel Anno assez aujourd'hui aurait avaient avons bailli besoin budget c'était catholicisme catholique cause charité chose chrétienne Christianisme clergé cœur Constitution démocratie dernier devant Dieu dire doctrine duc de Noailles écoles esprits femme février force général Cavaignac gens gouvernement hommes idées jamais Jellachich jeune jour journées de juin juge Juhann l'Assemblée nationale l'auteur l'autre l'Eglise l'esprit l'Etat l'Europe l'Hakenrichter l'homme laisser Ledru-Rollin liberté liberté d'enseignement livre Louis-Napoléon madame de Maintenon main Marion Delorme Maronites Mart ment millions ministre misère monarchie monde morale n'avait Napoléon nation Pape parole passé pauvre pays pensée personne peuple philosophie Pie IX poëte politique population porte pouvoir premier présent président principe Proudhon publique puissance qu'un question raison religieux religion républicains République reste révolution rien Rome s'est saint semble sentiment serait sérieux seul siècle situation social société Société de l'Océanie sorte surtout système tion trouve vérité Victor Hugo Vindex voix vrai Windischgraetz
Popular passages
Page 381 - E se ben ti ricordi e vedi lume, vedrai te simigliante a quella inferma che non può trovar posa in su le piume, ma con dar volta suo dolore scherma.
Page 117 - Peuples ! écoutez le poète ! Ecoutez le rêveur sacré ! Dans votre nuit, sans lui complète, Lui seul a le front éclairé...
Page 227 - Histoire, poésie, il joint du pied vos cimes. Éperdu, je ne puis dans ces mondes sublimes Remuer rien de grand sans toucher à son nom; Oui, quand tu m'apparais, pour le culte ou le blâme, Les chants volent pressés sur mes lèvres de flamme, Napoléon ! soleil dont je suis le Memnon ! Tu domines notre âge; ange ou démon, qu'importe?
Page 274 - J'avais cinq ans lorsque Dieu, songeant aux besoins futurs de ma vie et de mon âme, me donna un frère. La plus ancienne joie dont je me souviens fut de voir ce beau petit frère endormi dans son berceau. Dès qu'il put marcher, je devins son protecteur ; dès qu'il put parler, il me consola, car l'affliction et la douleur n'épargnèrent point mes jeunes ans.
Page 531 - II n'ya plus aujourd'hui de Français, d'Allemands, d'Espagnols, d'Anglais même, quoi qu'on en dise; il n'ya que des Européens. Tous ont les mêmes goûts, les mêmes passions, les mêmes mœurs, parce qu'aucun n'a reçu de formes nationales par une institution particulière.
Page 228 - C'était un beau spectacle ! — 11 parcourait la terre Avec ses vétérans, nation militaire Dont il savait les noms ; Les rois fuyaient; les rois n'étaient point de sa taille Et vainqueur, il allait par les champs de bataille Glanant tous leurs canons.
Page 653 - L'enseignement est libre. La liberté d'enseignement s'exerce selon les conditions de capacité et de moralité déterminées par les lois, et sous la surveillance de l'État. Cette surveillance s'étend à tous les établissements d'éducation et d'enseignement, sans aucune exception.
Page 274 - ... fêtes du cœur ! Nous allions ensemble à l'école, nous revenions ensemble au logis; le matin, je portais le panier, parce que nos provisions le rendaient plus lourd; c'était lui qui le portait le soir. Toujours nous faisions cause commune. Je ne le laissais point insulter ; et lui, quand j'avais quelque...
Page 404 - Vendôme , enfin toute cette déplorable façon de gouverner qui précipita dans le plus évident péril d'une perte entière , et qui jeta dans le dernier désespoir ce maître de la paix et de la guerre, ce distributeur des couronnes, ce châtieur des nations , ce conquérant, ce grand par excellence, cet homme immortel pour qui on épuisait le marbre et le bronze , pour qui tout était à bout d'encens.
Page 142 - Disparaissez enfin, révoltantes distinctions de riches et de pauvres, de grands et de petits, de maîtres et de valets, de gouvernants et de gouvernés.