Froissart: étude littéraire sur le XIVme siècle, Volume 1A. Durand, 1857 - 12 pages |
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amour Anglais Angleterre assez avaient avoit Binche Bouciquault Bruges Buisson de Jonèce c'était chanoine CHAPITRE Charles Chaucer chevalier chevauchant Chimay choses Christine de Pisan Chron chroniques chroniqueur cité clerc comte de Foix comte de Hainaut conte Coucy d'amour d'armes d'Aubrecicourt d'Édouard dame damoiselles devait Dieu Douglas duc de Berry duc de Bourgogne duc de Brabant duc de Lancastre duchesse Édouard Espaing de Lyon esté estoient estoit Eustache Deschamps fêtes fist Flandre Frois fust Gérard d'Obies Gerson grant guerres Gui de Blois Guillaume Guillaume de Machault Henri Jean de Beaumont Jean Froissart Jean le Bel Jeanne Jehan jeune jour Lestines lettres livre Machault maison manuscrit ménestrels messire mort moult Navarre noble nommé Pétrarque Philippe de Maizières poëme poëte prévôt de Binche princes raconter reine d'Angleterre reine Philippe Richard Stury Robert de Namur royaume sart seigneur sire de Rivière trouvait vaillant Valenciennes voyage Wenceslas xive siècle
Popular passages
Page vi - Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués, et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné.
Page 149 - et nous fûmes tout aises à l'hostel de l'Étoile, et y « séjournâmes tout séjour ; car c'est une ville trop « bien aisée pour séjourner chevaux : de bons foins, « de bonnes avoines et de belle rivière...
Page 280 - VI, p. 153. former le royaume même , y laissa du moins après elle de longs et vifs regrets justifiés par de nouveaux désastres et de nouveaux malheurs. Il ya aussi dans la vie de Marcel quelques pages qui réclament une réhabilitation. On lui reprocha d'être l'allié des Anglais, et personne ne fit plus que lui pour les repousser. On l'accusa de soutenir les Jacques et de chercher l'extermination de la noblesse. Or, il ouvrit un refuge aux nobles dans les murs de Paris , et s'opposa de toutes...
Page 245 - Et avois, de pourvéance, fait escripre, grosser et enluminer et recueillir tous les traités amoureux et de moralité, que au terme de trente-quatre ans je avois, par la grâce de Dieu et d'amour, faits et compilés; laquelle chose réveilloit grandement mon désir pour aller en Angleterre et voir le roi Richard d'Angleterre, qui fils avoit été au noble et puissant prince de Galles et d'Aquitaine ; car vu ne l'avois depuis qu'il fut tenu sur les fonts en l'église cathédrale de la cité de Bordeaux,...
Page 288 - ... le contre-scel de la ville de Paris clos. Et vous supplions et prions tant et si acertes comme plus poons que tout vostre commun assemblé et en audience vous plaise lesdis rooles faire lire avecques ces présentes et clèrement exposer à vostre commun les choses qui contenues y sont. Très-chiers seigneurs et bons amis, nous pensons que vous...
Page 284 - ... par vous saisies de nouvel, estoient en gouvernement de très-bonnes gens et sans aucun mauvais soupçon et n'estoient point en frontière, ne ne vous coustoient rien à garder, et est aussi vérité que quiconque a deux choses à garder et garnir, il doit mielx et plus tost garder et garnir la plus vallable, la plus honorable et proufitable quant elle est plus...
Page 155 - Et quand de sa chambre à mie nuit venoit pour souper en la salle, devant lui avoit douze torches allumées que douze varlets portoient; et icelles douze torches étoient tenues devant sa table qui donnoient...
Page 155 - Foix vit moult volontiers; et toutes les nuits après son souper je lui en lisois. Mais en lisant nul n'osoit parler ni mot dire, car il vouloit que je fusse bien entendu, et aussi il prenoit grand solas au bien entendre. Et quand il chéoit...
Page 283 - ... aucune paine à garnir les forteresses qui sont devers vos ennemis, mais trop bien avés saizi celles dont vivres nous pevent venir, et, qui pis est, les avés garnies de gens qui nul bien ne...
Page 287 - ... de li et desdis nobles, en nous mettant sus à grant tort que nous voulions avoir le gouvernement du royaume, et combien que monseigneur le duc bel en respond,esist et à faire le promesist , rien n'en faisoit, mais tout le contraire, et contre nous et ceuls qui ensuyvoient nostre opinion, estoit en corage se forment meus que par maintes voies...