| Bernard Jullien - 1844 - 490 pages
...livre en pâture ; Kt les cédant sans choix aux rongeants appétits, L'aigle est en proie aux vers, et les forts aux petits. Te souvient-il d'un monstre...trous écartés. Ce pivert qui dardait une langue affilée, Sur votre colonie à sa faim immolée, Fut mangé d'un vautour, et son sanglant vainqueur... | |
| B. Jullien (i.e. M.B.) - 1844 - 488 pages
...livre eu pâture ; Kl les cédant sans choix aux rongeants appétits, L'aigle est en proie aux vers, et les forts aux petits. Te souvient-il d'un monstre à tes yeux si terrible, Au long dos écaillé d'émerande flexible? Ce lézard dont la gueule effrayait vos cités? Un serpent en dîna dans ses... | |
| Bernard Jullien - 1844 - 494 pages
...aux petits. Te souvient-il d'un monstre à tes yeux si terrible, Au long dos écaillé d'éiueraude flexible? Ce lézard dont la gueule effrayait vos cités? Un serpent en dina dans ses trous écartés. Ce pivert qui dardait une langue affilée, Sur votre colonie à sa faim... | |
| Eugène Crépet - 1861 - 664 pages
...livre en pâture ; Et, les cédant sans choix aux rongeants appétits, L'aigle est en proie aux vers, et les forts aux petits. Te souvient-il d'un monstre...dont la gueule effrayait vos cités? Un serpent en dIna dans ses trous écartés. Ce pivert, qui dardait une langue affilée Sur votre colonie à sa faim... | |
| Gustave Merlet - 1878 - 600 pages
...souvient-il d'un monstre à tes yeux si terrible, Au long dos écaillé d'émeraudes flexibles. Le lézard, dont la gueule effrayait vos cités? Un serpent...trous écartés. Ce pivert, qui dardait une langue affilée Sur votre colonie à sa faim immolée, Fut mangé d'un vautour; et sou sanglant vainqueur... | |
| Gustave Merlet - 1878 - 594 pages
...Et les cède sans choix à l'aveugle appétit. L'aigle est en proie aux vers, et le fort au petit. Te souvient-il d'un monstre à tes yeux si terrible, Au long dos écaillé d'émeraudes flexibles. Le lézard, dont la gueule effrayait vos cités? Un serpent en dîna dans ses... | |
| Gustave Merlet - 1878 - 598 pages
...Et les cède sans choix à l'aveugle appétit. L'aigle est en proie aux vers, et le fort au petit. Te souvient-il d'un monstre à tes yeux si terrible, Au long dos écaillé d'émeraudes flexibles, Le lézard, dont la gueule effrayait vos cités? Un serpent en dina dans ses... | |
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