Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 3 |
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Annal armée avoient avoit bataille Bologne Brescia cardinaux cents CHAP Charles d'Anjou châteaux chef chevaux Chronicon citoyens comte Guido concile Conrad Conradin conseil Constantinople Crémone d'Eccélino devoit doge Eccélino ennemis envoya étoient étoit factions faisoit famille Farinata Florence Florentins Frédéric frère fût Gallura Génois gentilshommes Genuens Gibelins Giov Giovanni Villani gouvernement Grégoire Grégoire X Guelfes guerre habitans hist hommes ibid Innocent IV l'armée l'Église l'empereur l'Italie légat liberté ligue lombarde Lombardie long-temps Lucéria maison de Souabe Manfred marquis d'Este Milan Milanois mille mort n'avoient n'avoit Naples Nicolas nobles Padoue paix pape patrie peuple Pierre des Vignes Pisans Pise podestat pontife Pouille pouvoient pouvoir presque prince prisonniers Raynaldi république Rolandini Romains Rome royaume royaume de Naples royaume de Sicile s'étoient s'étoit saint Saint-Siége Sarrasins seigneur seroit seul Sicile soldats storia Torre Toscane troupes tyran Uberti Venise Vénitiens venoit Villani villes Visconti vouloit XVIII XXII
Popular passages
Page 244 - Restato m' era, non mutò aspetto, Né mosse collo, né piegò sua costa. E se, continuando al primo detto, S' egli han quell' arte, disse, male appresa, Ciò mi tormenta più che questo letto. Ma non cinquanta volte fia raccesa La faccia della donna che qui regge, Che tu saprai quanto quell
Page 63 - Je vous dis en vérité que tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel.
Page 471 - Français qui assistoient à la fête , pas un seul n'échappa ; quoique les Siciliens fussent encore désarmés , ils en égorgèrent deux cents dans la campagne, tandis que les cloches de l'église de Montréal sonnoient le service de vêpres. Les Palermitains rentrèrent dans la ville, répétant toujours le même cri , qu'ils meurent les Français , et ils recommencèrent le carnage.
Page 426 - Montagne, précisément à cette époque, armoit ses assassins d'une manière si terrible. Les Lambertazzi cachèrent ensuite , sous des décombres, le cadavre du jeune homme, dans une cour déserte : mais ils ne se furent pas plus tôt retirés, qu'Imelda, suivant les traces du sang qu'elle voyoit répandu, découvrit le corps du malheureux Boniface.
Page 444 - ... prince confirma, par un acte solennel, tous les priviléges accordés, et reconnut comme propriétés de l'Église les États désignés comme tels par les empereurs depuis cinq siècles, c'est-à-dire tout le territoire entre Radicofani et Ceprano, la Marche d'Ancône, le duché de Spolète, la terre de la comtesse Mathilde, le comté de Bertinoro, l'exarchat de Ravenne. la Pentapole, la Massa Trabaria.
Page 425 - Sismondi, oublié cette haine de leurs familles : ils s'aimoient avec passion. Un jour, Imelda consentit à recevoir son amant chez elle; mais tandis qu'ils croyoient s'être dérobés à tous les yeux, un espion révéla aux frères Lambertazzi la foiblesse de leur sœur. A peine, au moment où ils entroient furieux dans son appartement, eut-elle le temps de se dérober à eux parla fuite; Bonifazio y étoit encore.
Page 341 - ... la cession de Bénévent et de son territoire au patrimoine de saint Pierre; enfin, la conservation de toutes les immunités ecclésiastiques , pour le clergé des Deux-Siciles. La déchéance fut .prononcée par avance contre le roi , descendant de Charles d'Anjou , qui n'observeroit pas toutes ces conditions.
Page 422 - Églises; et il étendit sa protection sur l'empire d'Orient comme sur celui d'Occident. Ce fut un glorieux pontificat que celui de Grégoire X; et il auroit laissé sans doute des traces plus profondes dans la mémoire des hommes, s'il avait duré plus long-temps, ou si ce pape vénérable avoit eu des successeurs dignes de lui.
Page 351 - ... infailliblement assuré la victoire. Quoiqu'il n'eût plus autour de lui qu'un petit nombre de chevaliers, il résolut de mourir plutôt dans la bataille, que de prolonger sa vie avec honte (i). Comme il mettoit son casque en tête, un aigle d'argent, qui en faisoit le cimier, tomba sur l'arçon de son cheval.
Page 175 - Alcino , qui , quoique situé sur la route de Sienne à Rome, s'étoit mis sous la protection des Florentins. Les Siennois furent battus sous les murs de ce château; et l'armée, après avoir parcouru le territoire de tous ses ennemis, rentra en triomphe à Florence. Ce fut en partie en commémoration de ces succès que la république prit la détermination de battre une monnoie d'or, le florin, appelé depuis sequin , qu'elle fixa au titre le plus pur , de vingt-quatre carats , et au poids de trois...
Bibliographic information
| Title | Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 3 Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi |
| Author | Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi |
| Publisher | Treuttel et Würtz, 1826 |
| Original from | the New York Public Library |
| Digitized | 15 Aug 2007 |
| Export Citation | BiBTeX EndNote RefMan |