Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 3

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Page 242 - Restato m' era, non mutò aspetto, Né mosse collo, né piegò sua costa. E se, continuando al primo detto, S' egli han quell' arte, disse, male appresa, Ciò mi tormenta più che questo letto. Ma non cinquanta volte fia raccesa La faccia della donna che qui regge, Che tu saprai quanto quell
Page 469 - Et Drouet, percé de sa propre épée, fut la première victime de la rage populaire. De tous les Français qui assistaient à la fête, pas un seul n'échappa : quoique les Siciliens fussent...
Page 423 - Sismondi, oublié cette haine de leurs familles : ils s'aimoient avec passion. Un jour, Imelda consentit à recevoir son amant chez elle; mais tandis qu'ils croyoient s'être dérobés à tous les yeux, un espion révéla aux frères Lambertazzi la foiblesse de leur sœur. A peine, au moment où ils entroient furieux dans son appartement, eut-elle le temps de se dérober à eux parla fuite; Bonifazio y étoit encore.
Page 63 - ... indigne et de l'Empire, et de ses •» royaumes, et de tout honneur et dignité. » Pour ses iniquités et pour ses crimes, Dieu » le rejette, et ne souffre plus qu'il soit ou roi » ou empereur. Nous faisons voir seulement, » et nous dénonçons comment il est lié par ses » péchés, rejeté par Dieu, privé par le Seigneur » de tout honneur et de toute dignité; et ce» pendant, nous l'en privons aussi par notre
Page 327 - Charles, dit-il, fut sage et prudent dans les conseils ; preux dans les armes, sévère et fort redouté de tous les rois du monde; magnanime et de hautes pensées qui l'égalaient aux plus grandes entreprises; inébranlable dans l'adversité, ferme et fidèle dans toutes ses promesses...
Page 71 - Ce n'étoit pas seulement dans les républiques d'Italie que le pape suscitoit des ennemis à Frédéric, en les encourageant à défendre leur liberté contre lui ; il adressoit les mêmes exhortations aux sujets du royaume des Deux-Siciles, auxquels il envoya deux cardinaux , avec des lettres pour le clergé , la noblesse , et le peuple des villes et des campagnes.
Page 407 - Comment , votre père ne fut-il pas traîné ?. . . . A ces mots, Montfort rentre dans l'église, saisit par les cheveux le cadavre du jeune prince, et le traîne jusque sur la place publique.
Page 456 - ... de Valence , seigneur de Luxen, Benizzano et Pal ma. Ce n'étoient pas des fiefs ou des richesses qui pouvoient faire oublier à Procida la mort tragique de Manfred et de Conradin , le malheur de sa patrie, et l'oppression de ses concitoyens. Les correspondances qu'il avoit conservées dans les deux royaumes de Sicile ne l'entretenoient que des vexations des Français, de leur injustice, de leur cruauté, et surtout du mépris qu'ils affectoient de montrer pour une nation que cependant ils n'avoient...
Page 381 - Conradin avoient complètement ' rompu leur ordre de bataille, et qu'entraînées à la poursuite des fuyards , elles étoient divisées en petits pelotons , hors d'état désormais de soutenir le choc de ses gendarmes , il se retourna vers Charles , et lui dit : « Fais à présent sonner » la charge, car le moment en est venu. » En effet , ces huit cents hommes d'élite et de troupes fraîches , donnant au travers d'une armée de CUAI-.
Page 327 - Giovanni Villani, fut sage et prudent dans » les conseils, preux dans les armes, sévère, » et fort redouté de tous les rois du monde, :» magnanime et de hautes pensées qui l'éga» loient aux plus grandes entreprises ; iné...

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