Recueil de chants historiques francaise: XVIe siècleCharles Gosselin, 1842 - 616 pages |
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Adieu amour Anne de Pisseleu avecques aventuriers avoit bataille bataille de Marignan bataille de Pavie belles chansons Bourguignons Brantôme brave C'estoit canons capitaine catholique celuy ceste Chanson nouvelle chant chasteau cœur compagnon complainte composées connétable de Bourbon couplets cueur dames deffaicte Dieu duc de Guise ennemis Estant esté estoient estoit estonnez estre étoit faict faisoit fault fille fist Fleur des chansons François Ier fust gens grant guerre Guyse hari l'asne Hélas Henri hérétiques Huguenots j'ay jour Joyeuse l'empereur Ligue Ligueurs Limeuil Lorraine Lyon maistre malheur Marignan Maurepas meschant Metz Mézières monseigneur Monsieur monstré Montmorency mort mourir Navarre noble roy paix Péronne peuple pièces Pienne Pierre de Navarre presche prince de Condé princesse prinse quoy Reistres roy Françoys roy Henry royne sainct seigneur siége SIEGE DE MÉZIÈRES soldats tousjours traistres Turaine victoire vignette sur vignon Viragon Vive le roy vray XVIe siècle
Popular passages
Page 575 - Charmante Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle A la suite de Mars, Cruelle départie!
Page 575 - CHARMANTE Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle Sous les drapeaux de Mars , Cruelle départie , Malheureux jour!
Page 12 - François, pour la victoire qu'il avoit euë sur les Suisses, il n'y avoit celuy qui ne regardast si son espée tenoit au fourreau, et qui ne se haussast sur les orteils pour se rendre plus bragard et de la riche taille.
Page 181 - Chastellard, non content et plus que forcené d'amour, y retourna pour la seconde fois, ayant oublié sa première faute et son pardon. Alors la reyne, pour son honneur, et à ne donner occasion à ses femmes de penser mal, voire à son peuple s'il le sçavoit, perdit patience, le mit entre les mains de la justice, qui le condamna aussy tost à avoir la teste tranchée, veu le crime du faict.
Page 179 - Adieu, plaisant pays de France ! O ma patrie La plus chérie ; Qui a nourri ma jeune enfance ! Adieu, France ! adieu mes beaux jours. La nef qui disjoint nos amours N'a cy de moi que la moitié ; Une part te reste, elle est tienne ; Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Page v - J'appelle ASSONANCE , dit M. Raynouard (2), dans l'ancienne poésie françoise, la correspondance imparfaite et approximative du son final du dernier mot du vers avec le même son du vers qui précède ou qui suit, comme on a appelé RIME la correspondance parfaite du son identique final de deux vers formant le distique.
Page 225 - Vois en bierre et cercueil, Qui en mon doux printemps Et fleur de ma jeunesse, Toutes les peines sens...
Page 290 - François et reyslres parmy leurs clairons sonnoient souvant cesle chanson et quinte : Le prince de Condé, II a esté tué, Mais monsieur l'admirai Est encore à cheval, Avec la Rocbefoucaud, Pour chasser tous ces papaux, papaux, papaux.
Page 225 - Fut-il un tel malheur De dure destinée, Ny si triste douleur De dame fortunée, Qui mon cœur et mon œil Vois en...
Page 305 - ... Vous, malheureux ennemys, Qui avez mis Sans raison au poing les armes Contre votre prince et roy, Par esmoy, Jetez de vos yeulx larmes.